1- Musée de Grenoble (5 place de Lavalette, 38000 Grenoble)

Giuseppe PENONE

du 22 novembre 2014 au 22 février 2015

Invité au Château de Versailles l’été dernier, Giuseppe Penone n’a plus fait de grandes expositions dans un musée français depuis sa rétrospective au Centre Georges Pompidou en 2004. Pour Grenoble, il conçoit un parcours très libre qui mêlera œuvres anciennes et créations nouvelles, sculptures et réalisations murales, pièces monumentales et œuvres intimistes. Une rêverie sensuelle et poétique sur les éléments, une approche renouvelée de la relation de l’homme à la nature, des liens profonds et indéfectibles qui les unissent.

Le musée est ouvert tous les jours sauf le mardi, de 10h00 à 18h30

Plein tarif : 8€

Tarif réduit*: 5€
Séniors (plus de 65 ans), familles nombreuses, étudiants (jusqu'à 26 ans), carte Alice, enseignants, groupes de 10 personnes et plus sur réservation, guides conférenciers, invalides civils et de guerre, ancien combattants, Sociétés d' Amis de Musées. Tarif titulaires de la carte M'RA: 2€
Entrée gratuite*:
Jeunes de moins de 18 ans,
Chômeurs,
Etudiants de moins de 26 ans de l’École du Louvre, en histoire de l'Art et archéologie, en écoles d'art, écoles d'architecture et écoles des arts décoratifs,
enseignants de l’École d'Art et de Design de Valence -Grenoble,
groupes scolaires accompagnés par les enseignants,
Amis du Musée de Grenoble,
Porteurs des cartes ICOM – AICA – Presse,
Enseignants dans le cadre d'un projet pédagogique,
Artistes sur présentation de la carte professionnelle,
Partenaires autorisés par convention avec la ville de Grenoble.
Gratuité pour tous le premier dimanche de chaque mois

2- Le Magasin (Site Bouchayer-Viallet  155 Cours Berriat, 38000 Grenoble)

Du 11 octobre 2014 au 4 janvier 2015

« Art In Pop » dans les Galeries du Magasin

« Dans quelques mois devrait être inaugurée la "Belle Electrique", la salle de musiques amplifiées de Grenoble qui est la proche voisine de la halle Eiffel qui abrite le MAGASIN.

À cette occasion, le Centre National d’Art Contemporain consacre l'une de ses expositions de rentrée de l'automne 2014 à la question de la musique dans ses relations aux pratiques artistiques, ce qu'il a déjà esquissé dans quelques-unes de ses expositions passées.
À leur suite, l’exposition « Art in Pop », qui a ouvert ses portes le 10 octobre , trouve son origine dans des constats simples et communément partagés.
En effet, s’il est vrai que jusque dans les années soixante de nombreux musiciens et chanteurs ont eu une pratique artistique qui est de l'ordre du loisir et de quelque chose qui s’apparente au jardin secret de la créativité, il est tout aussi vrai qu’à partir de cette même décennie de nombreux musiciens de la pop musique ont été formés dans des écoles d’art, tout particulièrement en Angleterre. Sous l'influence conjuguée de l'éclatement des frontières entre "haute" et "basse" culture et du glissement des codes de production, d’identité et de style de la première (la « haute culture », celle de l’art et des disciplines savantes) vers la seconde (la « basse culture », celle de la télévision, de la bande dessinée et plus généralement de la production culturelle industrielle), les pratiques musicales et plastiques s'entremêlent.
La musique pop devient le lieu d'une double posture entre art et musique où le musicien est également artiste ou inversement et d'où émergeront notamment des figures de producteurs de structures mais également de sens et d'esthétiques.

L'exposition est organisée en une succession de salles dédiées à des individualités ou à des thématiques qui rassemblent des documents de toute nature (pochettes de disques, documents filmés d’interviews ou de concerts) et des œuvres d’art.
L’une de ces salles sera, par exemple, dédiée à Captain Beefheart, Don Van Vliet de son vrai nom, qui est né en 1941 dans la banlieue de Los Angeles. Combinant un grand nombre d'influences (blues, rock, musique psychédélique, free jazz... ), et en rupture avec les conventions de la musique rock, il a été considéré comme une figure de la musique avant-gardiste. En 1982, il quitte le monde de la musique et part vivre dans le désert californien de Mojave pour se consacrer à la peinture. Il a développé une œuvre picturale représentée par des galeries de premier plan.
Il a entretenu des relations suivies avec d’autres artistes, notamment Sigmar Polke avec lequel il a aussi « jammé ».
L'espace central principal est consacré à Malcolm McLaren qui incarne plus que tout autre l'éclatement de la notion d'artiste qui se forme à la fin des années soixante. Né en 1946 à Londres, il est formé successivement dans différentes écoles d'art dont le Goldsmith College. Après sa première exposition personnelle à la Kingly Street Gallery de Londres en 1965 et différentes séries de travaux il travaille au script d'un documentaire sur Oxford Street qu'il abandonne faute de moyens pour se consacrer au design de vêtements. Il ouvre sa première boutique, Let it Rock, en partenariat avec Vivienne Westwood avec qui il conçoit les costumes du film Mahler de Ken Russell. Il devient le manager des groupes QT Jones et Sex Pistols en 1974. Il produira par la suite un ensemble diversifié de films, disques, vêtements et autres pour marquer durablement l'extension considérable de la définition d'artiste et de ses champs d'intervention. L'exposition est constituée d'une ensemble tout à fait exceptionnel de documents et de créations originales de toutes natures sélectionnées avec le concours de son estate. Autre exemple, John Miller, né en 1954 à Cleveland, il vit et travaille à New York et Berlin. Sa production protéiforme, photographie, peinture, sculpture, vidéo, qu’éclaire une prolifique production de textes critiques, questionne depuis ses débuts la question de valeur dans nos sociétés tant dans la sphère globale sociétale que dans celle des médias ou de l’art. Sa salle montre un ensemble de documents retraçant son itinéraire musical mais également quelques œuvres dont la vidéo de Tony Oursler “Life of Phillis”. Depuis ses études à l’École d’art de Rhode Island, il est membre de groupes divers dont il a été pour certains le fondateur :
. The Foot Notes (Rhode Island School of Design avec J.D. King, Michael Bloom, Randy Ludacer, Margie Politzer et David Bowes, le leader à la pratique neo-expressionniste ), 1976-77.
. The Coachmen (J.D. King, Thurston Moore, Dan Walworth), 1977.
. The Poetics (Mike Kelley, Tony Oursler, John Arnheim, Bill Stobaugh/Szymon Choynowski), 1978-79.
. Robot (Takuji Kogo) depuis 2000.
. xxx Macarena (Jutta Koether, Tony Conrad, épisodiquement Greg Parma Smith, Mike Kelley et Kim Gordon, une fois), 2008-2012. . Dirty Mirrors (Aura Rosenberg, Dan Walworth, Jon Kessler, David Humphrey) (Berlin lineup: AurWalworth, Jon Kessler, David Humphrey) (Berlin lineup: Aura Rosenberg, Frank Lutz), 2006-2012.
. The Cornichons (Aura Rosenberg, Dan Walworth, Jon Kessler, Jose Martos, Servane Mary) depuis 2013.

L’exposition comprend des salles développées autour de David Thomas – Pere Ubu, Malcolm McLaren, Mayo Thompson - Red Krayola, Daniel Johnston, Alix Lambert.
John Armleder a assuré le commissariat d’une salle pour une exposition dont il avait l’idée sans jamais avoir pu la réaliser avec Genesis P-Orridge et Alan Vega.

D’autres salles montrent des ensembles plus réduits d’œuvres et de documents autour de Jerry Garcia (Grateful Dead), Philippe Katerine avec une nouvelle série de dessins, Cris Kirkwood (Meat Puppets).

Commissaire d’exposition : Yves Aupetitallot avec John Armleder, Young Kim & Paul Gorman et John Miller »

Le Magasin est ouvert du mercredi au dimanche, de 14h à 19h
Plein tarif 4€
Tarif réduit 2,50€ (étudiants, chômeurs, handicapés, professeurs d'arts plastiques, cartes senior,...).
Gratuit pour les moins de 10 ans, les membres de l'association des Amis du Magasin, les étudiants en histoire de l'art, en écoles d'art et d'architecture de Rhône-Alpes.



3- Musée de l’Évêché (2 Rue Très Cloîtres  38000 Grenoble)

Le Musée de l’Évêché est ouvert les lundi, mardi, jeudi, vendredi de 9h à 18h et le mercredi de 13h à 18h,
Samedi et dimanche de 11h à 18h
l'entrée est gratuite.
Actuellement, pas d'exposition temporaire

4- Musée Dauphinois (30 Rue Maurice Gignoux 38000 Grenoble)

++ « À l'arrière comme au front , les Isérois dans la guerre »

Exposition présentée jusqu'au 30 juin 2015

« Éloignée des zones de combat, l’Isère n’en est pas moins profondément marquée par cette guerre, tant en raison des effets de la mobilisation que par les conséquences militaires, économiques, sociales et politiques sur le territoire même du département. Celles-ci se traduisent notamment par la présence de dizaines d’hôpitaux – la plupart temporaires – pour soigner les blessés qui arrivent depuis le front, ou encore par les prisonniers de guerre allemands dont la maind’œuvre est requise pour de nombreux chantiers.
L’effort de guerre entraîne également une transformation de l’industrie iséroise au service de la défense nationale, avec l’émergence de nouveaux domaines d’activité liés au conflit. C’est le cas notamment du secteur de la chimie. Dans ce contexte et en raison de l’absence d’une part importante de la population masculine, le rôle de la femme dans la société française évolue rapidement et favorisera sans doute son émancipation au sortir du conflit.
En fin de parcours, l’exposition fait place au temps du souvenir qui suit l’armistice du 11 novembre 1918 et au règlement du conflit qui porte en germe le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Dans le cadre de cette commémoration et au-delà de l’histoire et de la mémoire, le Musée dauphinois souhaite engager une réflexion autour de la notion de paix. Un programme des nombreux événements organisés dans le département pour le centenaire de 1914 sera édité par le Conseil général de l’Isère.
Le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère présentera, en novembre 2014, l’exposition Les poilus de l’Isère. En partenariat avec les Archives départementales de l'Isère. »

++ « Voir Midi à sa porte, Cadrans solaires de l'Isère »

Exposition présentée du 13 décembre 2013 au 5 Janvier 2015

« Il est temps de faire toute la lumière sur les cadrans solaires qui ornent encore à profusion nos façades en Isère ! Plus de sept cents inventoriés placent en effet notre département parmi les plus riches en cadrans conservés. Le Musée dauphinois met en scène ce patrimoine singulier, à la fois populaire et savant, pour retrouver l'histoire politique et religieuse de la France à l'échelle locale. Parallèlement, l'exposition s'attarde sur l'histoire scientifique de la mesure du temps, pour remettre nos pendules à l'heure.
Matérialiser l'idée du temps qui passe a toujours fasciné. Alignements mégalithiques et calendaires, horloges à eau, sabliers, cadrans solaires, cadrans en pierre « scaphés » ou même de simples tiges plantées dans le sol pour capturer la course de l'ombre, l'homme n'a eu de cesse de perfectionner ces mesures du temps, au gré de ses besoins. L'alternance du jour et de la nuit, les phases de la lune, le mouvement des astres dans le ciel, autant d'indices repérés par les premiers inventeurs pour définir le jour, le mois et l'année.
Le visiteur découvrira l'influence marquée de l'Église qui, plusieurs siècles durant divisa le jour en temps de prières indiqués par les cadrans canoniques. Il s'amusera des devises peintes sur les cadrans solaires adossés aux maisons, exprimant les idées patriotiques, les pensées philosophiques ou teintées d'humour de leurs propriétaires. Il rencontrera des cadraniers, véritables artistes chargés de la composition ornementale des cadrans.
Parmi les trésors extraits des collections du Musée dauphinois, les aquarelles de Thiébaut Schurch réalisées au début du XXe siècle attestent pour certaines de l'existence de cadrans aujourd'hui disparus. Elles témoignent également d'un art populaire alors sur le déclin.
Le constat alarmant de l'état de nombreux cadrans sera fait et illustré de plusieurs exemples de restaurations réussies. À l'heure de l'horloge atomique, de très belles créations contemporaines montreront le regain d'intérêt pour ce patrimoine populaire.
Avec la collaboration de Chantal Mazard, conservateur en chef du patrimoine honoraire et auteur de l'ouvrage « Les cadrans solaires en Isère » ».

++ « Confidences d'outre-tombe, les archéologues interrogent les morts »

A partir du vendredi 19 décembre

Inauguration le jeudi 18 décembre 2014 à 18h



Le Musée Dauphinois est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 18h, l'entrée est gratuite.

5- Musée de la résistance et de la Déportation (14 Rue Hébert 38000 Grenoble)

Poilus de l'Isère

Exposition présentée du 12 novembre 2014 au 18 mai 2015

« Préparée avec le concours de nombreux acteurs locaux, cette exposition est complémentaire de l'exposition À l'arrière comme au front du Musée dauphinois. C'est de l'engagement militaire des Isérois sur les champs de bataille dont il est question ici. Parmi eux, 17 000 à 19 000 hommes ont perdu la vie au cours de la Première Guerre mondiale. Tout en relatant les grandes phases du conflit, le musée reviendra sur les principaux faits d'armes au cours desquels ces soldats ont été engagés : les Vosges, la Somme, l'Artois, la Champagne, Verdun... en s'appuyant sur le parcours documenté de quelques-uns d'entre eux. Le musée souhaite à travers eux donner une vision assez représentative du vécu sur le front. Au lendemain de la guerre, cet engagement humain a été commémoré dans le département par l'érection de monuments aux morts et la tenue de cérémonies du souvenir qui n'empêcheront pas le déclenchement d'une nouvelle guerre mondiale en 1939.
  Le Musée accueillera pour l'occasion un emblématique camion CBA appartenant à la Fondation Berliet. Conçu à la veille de la Première Guerre mondiale, il faisait partie des véhicules qui ont acheminé les soldats lors de l'épopée de la « Voie sacrée » de Bar-le-Duc à Verdun, en 1916.  Le camion sera présenté du 12 novembre 2014 au 23 février 2015. En partenariat avec les Archives départementales de l'Isère et le service départemental de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre de l'Isère »
Le Musée est ouvert tous les jours, sauf le mardi matin, lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 9h à 18h, mardi de 13h30 à 18h, samedi et dimanche de 10h à 18h. L'entrée est gratuite.

6- Musée de la Révolution Française (place du Château 38 Vizille)

« Créé en 1983 par le Conseil général de l'Isère, dans la perspective du bicentenaire de 1989, le Musée de la Révolution française est installé dans le château du Domaine de Vizille. Il offre un nouveau regard porté sur une période charnière de notre histoire du monde occidental, à partir de la production artistique ou artisanale qu'elle a suscité à l'époque et depuis.
Les collections témoignent de l'état d'esprit des femmes et des hommes contemporains de la Révolution française et des régimes politiques suivants, en tenant compte de la complexité sociale du temps. Le musée présente des œuvres d'art et des objets d'histoire de l'époque révolutionnaire et s'intéresse à tout ce qui s'y réfère ou s'en inspire depuis deux siècles. Tout en évoquant les événements majeurs dont Paris fut le théâtre, la collection s'ouvre sur l'art et l'histoire dans les régions françaises et dans les pays européens limitrophes.
Les peintures et les sculptures révolutionnaires forment un ensemble exceptionnel d'une grande diversité de styles et de genres. Plusieurs bustes offrent les traits fidèles de personnages célèbres, tels Barnave, Bailly, Mirabeau, et Robespierre. Parmi les objets les plus singuliers, figurent des pierres de la Bastille et les sabres de la garde nationale. Quant aux œuvres du XIXe siècle, elles attestent de la vitalité de la référence à 1789 dans le mouvement qui a conduit à l'établissement de la République française. Expression de leur temps, elles rappellent que l'actualité politique et la recherche historique ont fait évoluer l'approche et l'interprétation de la Révolution.
L'originalité du musée est surtout de rendre compte de l'histoire à partir des œuvres d'art. Ces dernières ne sont pas de simples illustrations des événements et grands acteurs de la Révolution. Grâce à leur puissance évocatrice, à leur contenu et au contexte de leur création, elles nous permettent de mieux pénétrer l'esprit de cette époque. »

Le Musée est ouvert tous les jours sauf le mardi
de novembre à mars : de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h (fermé les jours fériés, entre Noël et le Jour de l'An)
Audioguides gratuits pour les individuels.
Visite guidée des collections du Musée de la Révolution française.
Se présenter à l'accueil du musée environ 15 minutes avant le début de la visite programmée à 15h
Tarif: 3,80€ par personne, gratuit pour les moins de 12 ans.
Renseignements au 04 76 68 07 35

7- Maison Bergès, Musée de la Houille Blanche ( 40 avenue des Papeteries Lancey 38190 Villard-Bonnot)

D'une vallée à une autre : le Grésivaudan en 1968

Du 21 Novembre 2014 au 30 Août 2015

La Maison Bergès-Musée de la Houille blanche présentera à l'automne prochain une nouvelle exposition consacrée au territoire du Grésivaudan et à son évolution dans les années 1960-1970,à travers la découverte de photographies réalisées par de jeunes passionnés, membres du club photos de la MJC de Crolles.
C'est à Paul Jargot, alors maire de Crolles, que l'on doit la commande de ce travail montrant les mutations de la vallée en 1968. Pas de grands noms, mais des amoureux de l'image qui vont ainsi arpenter la vallée à la manière de reporter et nous livrer leur propre perception de ce territoire alors en pleine transformation avec la construction de l'autoroute, l'essor de l'habitat et des cités HLM, les occupations d'usines au cours de ce mois de mai. Un regard simple, efficace, profondément humain, qui fait aujourd'hui véritablement figure de témoignage sur le passé récent d'une vallée et qui fait écho aux enjeux de développement actuels.
Le Musée est ouvert de 13h30 à 17h30, du mercredi au dimanche.
L'entrée est gratuite.

8- Musée Archéologique Grenoble Saint Laurent (Place Saint-Laurent 38000 Grenoble)




« Au cœur de l’un des plus anciens quartiers de la ville, le Musée archéologique Grenoble Saint-Laurent a rouvert ses portes au public en 2011.
Ce musée est implanté sur un lieu patrimonial majeur, le site de Saint Laurent de Grenoble.
Des premiers mausolées du IVe siècle à l'église du XIXe siècle, présente un ensemble architectural témoin d'une adaptation constante à l'évolution des mentalités, des pratiques païennes aux croyances chrétiennes.
Si sa renommée est acquise, grâce en particulier à son sanctuaire des premiers temps chrétiens pourvu d'une crypte exceptionnelle du Vième siècle, l'exposition permanente enrichie des collections issues des fouilles révèle l'essentiel du contenu des recherches menées sur le site.
Une nouvelle scénographie originale et spectaculaire, faisant la part belle aux technologies numériques renforce le pouvoir d'évocation des vestiges : une véritable renaissance pour ce site qui témoigne de près de vingt siècles d'histoire urbaine, religieuse et humaine de Grenoble.»
L'entrée est gratuite.
Le Musée est ouvert tous les jours de 10h à 18h, sauf le Mardi.

9- Musée Hébert (chemin Hébert 38700 La Tronche)

++ «  Vies silencieuses / Alexandre Hollan, De l'autre côté »

« La peinture d'Alexandre Hollan s'articule autour de deux thèmes : les natures mortes qu'il préfère appeler « Vies silencieuses » et les arbres, deux sujets que l'artiste traitera tout au long de sa carrière. Les Vies silencieuses font l'objet d'une première rétrospective présentée dans les salles d'exposition temporaire du 6 juin 2014 au 5 janvier 2015. Ouverture tous les jours sauf le mardi de 14 h à 18 h.

++ «  Les Muses blessées »

« Dans le cadre de la commémoration du centenaire de la guerre 1914-18 en Isère, le musée Hébert présente du 20 septembre 2014 au 2 février 2015, dans la grande galerie, « Les muses blessées 1914-1918 ».
L'exposition présentera un ensemble de photographies originales, italiennes pour la plupart mais aussi françaises et des documents, dont beaucoup exceptionnellement prêtés par le « Museo Centrale del Risorgimento di Roma », rappelant l'atmosphère qui régnait alors et témoignant des ravages causés tant aux monuments qu'aux œuvres d'art avec les premières procédures de protection organisées en Italie par Ugo Ojetti (1871-1946). Bien que souvent réalisées dans la précipitation et l'imminence des bombardements ou de l'arrivée des troupes ennemies, ces campagnes de protection ont été abondamment documentées, tant en France qu'en Italie.
« Cette exposition est réalisée dans le cadre des manifestations promues par la Présidence du Conseil des Ministres italiens, et le Comitato delle Celebrazioni à l’occasion du centenaire de la Grande Guerre, en partenariat avec l’Instituto per la Storia del Risorgimento – Museo Centrale del Risorgimento di Roma et l’ ICCU de Rome et la MSH Alpes de Grenoble. En collaboration avec Marco Pizzo ( MCRR ) et Sandra Costa (UPMF) curateurs scientifiques du programme international Le muse ferite 1914-1918. »
Le Musée est ouvert tous les jours de 10h à 18h, sauf le mardi, l'entrée est gratuite.




10- Musée Hector Berlioz (69 rue de la République 38261 La Côte St André Cedex

« La musique du phonographe à Internet »

Exposition au Musée Hector-Berlioz du 21 juin 2014 au 26 avril 2015

« Depuis la nuit des temps, l’Homme rêve d’emprisonner les sons… Au cours du XIXe siècle, apparaissent les premiers dispositifs pour conserver la musique. La diffusion de ces appareils, sans cesse modernisés, va engendrer une mutation profonde des modes d’écoute de la musique.
Le Musée Hector-Berlioz ne pouvait occulter l’aventure de la musique enregistrée.

L’exposition vous fait découvrir : Phonographes et machines parlantes, 78 tours et TSF, pick-up et tourne-disques jusqu’à la musique numérique.
Durant le parcours, l’exposition vous invite à des expériences sonores inédites : plusieurs dispositifs interactifs permettent de s’enregistrer, d’écouter des cylindres ou des 78 tours ou encore de s’immerger dans une sphère de musique spatialisée. Pour des connaissances et des émotions nouvelles… »



L'entrée du Musée est gratuite.
Le Musée est ouvert tous les jours de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h, sauf le mardi.

11- Musée Géo Charles (1 rue Géo-Charles 38 Echirolles)

Yann Legendre, un français à Chicago

Exposition présentée dans le cadre du Mois du Graphisme d'Echirolles
du 15 Novembre 2014 au 28 Janvier 2015

« Yann Legendre est un designer, illustrateur et art directeur, né en 1972. Vit et travaille actuellement à Paris. Il a étudié à l'Institut d'Art Visuel d'Orléans avant d'ouvrir son propre studio à Paris en 1998. En 2002, il part vivre aux États-Unis, il choisit Chicago pour ouvrir son studio/galerie. Dès lors, des commandes affluent de tout le pays : illustrations pour la presse, affiches de cinéma et de théâtre, couvertures de livres, lui sont commandées par les plus prestigieuses institutions américaines comme : le New-York Times, le New-Yorker, le Washigton Post etc... Ces affiches et illustrations ont déjà été exposées dans plus de 20 pays à travers le monde et font parties des collections permanentes du MOMA de New-York, de la Bibliothèque Nationale de France ainsi que de l'Art Design Institut of China, Academy of Art de Shanghair.
Dans le cadre du week-end inaugural du mois du graphisme le samedi 15 et dimanche 16 novembre 2014, le Musée Géo-Charles invite Daniel Aulagnier autour du projet «Action/photo»,  Ensemble - together »
« Adopter une attitude qui se différencie des postures traditionnelles est une forme de rupture revendiquée par la modernité à partir du milieu du 19ème siècle. Dès cette période, se succèdent des prises de position qui déterminent des approches conceptuelles différentes. Ainsi les proto-performances des futuristes et des dadaïstes, les ready-made de M. Duchamp, la musique de J. Cage, les actions de J. Beuys, le body-art ou les happenings et les performances contemporaines sont autant d’événements où, dans la pratique artistique, l’attitude devient action. Ici, l’instrument/signe peut avoir une relation au lieu, être lié à une ambiance particulière ou à un événement conséquent. »
D.A. »
Le Musée est gratuit et est ouvert du lundi au vendredi de 14h à 18h, samedi et dimanche de 14h à 19h

12- Musée St Antoine l'Abbaye

Musée fermé du 11 Novembre 2014 au 2 Mars 2015

13- Église St Hugues de Chartreuse (dans le Massif de la Chartreuse)

L'œuvre de cette église a été entièrement conçue et réalisée par un seul homme, Jean-Marie Pirot, qui prendra le pseudonyme d'Arcabas. Diplômé de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris il est enseignant à l'Ecole d'art décoratif de Grenoble au début des années 50
. A cette époque il redécouvre la foi et se met en quête d'une église à décorer, souhaitant ainsi réaliser un travail artistique d'envergure et exprimer sa foi à travers l'art.
Il visite par hasard l'église de Saint-Hugues-de-Chartreuse, rencontre le Père Raymond Truffot, curé de Saint-Pierre et Saint-Hugues, lui propose de restaurer gratuitement l'église en échange d'un projet de décoration. Il obtient l'accord de la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse, présente son projet à l'évêché de Grenoble et se lance dans la réalisation de ce qui sera l'une de ses œuvres majeures.

Église ouverte de 10h à 13h et de 14h à 18h, entrée libre
.

14 VOG Centre d'Art Contemporain (10 avenue Aristide Briand 38600 Fontaine)

« Only the skin of water »
Pascal Bircher

du 21 Novembre 2014 au 20 décembre 2014

Ouvert du Mercredi au Samedi de 14h à 19h, entrée gratuite

15- Couvent Sainte Cécile -Éditions Glénat, 37 rue Servan à Grenoble

« Montagne design : nouvelles inspirations »

du 22 Janvier 2015 au 17 Avril 2015

Du mardi au samedi de 11 h à 13 h et de 13h30 à 19 h
Entrée : 6€ (gratuite pour les moins de 13 ans).

16 – Musée Mainssieux 7 Avenue Léon et Joanny Tardy, 38500 Voiron

Un artiste en Italie. Voyages de Lucien Mainssieux.

Jusqu'au 31 décembre

« Le musée de Voiron vous invite aux voyages, à travers les peintures et dessins de Lucien Mainssieux lors de ses séjours en Italie de 1910 à 1926.

+ Le voyage et Mainssieux

Lucien Mainssieux est attaché à la tradition du voyage. Pour ne rien perdre des moments qu’il vit, l’artiste voironnais capte ses impressions, ses souvenirs, ses sensations sur des toiles, des dessins ou des carnets de voyage, à la manière de Delacroix. Très tôt attiré par de nouveaux horizons, le peintre Mainssieux fait de nombreux voyages en Italie entre 1910 et 1926.

+ Une exposition pour mieux comprendre l'artiste

Grâce à cette nouvelle exposition, le musée nous livre la place de l’Italie dans le cheminement artistique du peintre Mainssieux. Cela donne la possibilité au visiteur de mieux comprendre comment se met en place sa manière de peindre, et ce qui va caractériser ses peintures par la suite

+ Le peintre et l'homme

Une nouvelle facette de l’artiste est dévoilée grâce à son carnet de voyage où dessins et notes personnelles sont consignés. Outre les toiles de l’artiste, le catalogue de l’exposition propose de découvrir l’homme, le touriste aussi. Un texte de Gilles Bertrand (du Centre de recherche en histoire et histoire de l’art : Italie. Pays alpins) présent dans le catalogue nous plonge fin du XIXe siècle, début du XXe, pour mieux contextualiser cette période de la vie de l’artiste.




+ Peintures dessins et croquis

Des portraits et paysages seront mis en lumière lors de cette exposition. Le visiteur pourra donc admirer les paysages immortalisés témoignant de la fascination du peintre pour l’architecture antique, avec notamment deux grands panoramas de Rome. Pour respecter la fragilité des œuvres sur papier, les nombreux dessins seront accrochés par roulement, pour inviter au voyage trimestriel. »