1- Petit Palais (Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Avenue Winston Churchill - 75008 Paris )

Expositions temporaires :

++ La Force du dessin
Chefs-d’œuvre de la Collection Prat

Du 24 mars 2020 au 12 juillet 2020

« « Initiée dans les années 1970 par Louis-Antoine et Véronique Prat, cette collection qui porte leur nom est devenue l’un des ensembles privés de dessins parmi les plus prestigieux au monde, et le premier à avoir fait l’objet d’une présentation au Louvre en 1995. Le Petit Palais a décidé d’organiser en 2020 une nouvelle présentation élargie de cette collection au moment de l’ouverture du Salon du dessin, manifestation qui fédère tous les amateurs français et internationaux.
La collection Prat se concentre sur l’illustration de l’école française avant 1900, et constitue un survol particulièrement représentatif de trois siècles d’art français, de Callot à Seurat. Les deux amateurs ont toujours privilégié dans leurs choix des oeuvres très significatives du point de vue de l’histoire de l’art, et certains de leurs plus fameux dessins sont liés à la genèse d’oeuvres séminales de la peinture française : décors de Versailles par Le Brun, Coypel ou La Fosse, Douleur d’Andromaque de David, Songe d’Ossian d’Ingres ou Famille Belleli de Degas. Les dessins de Poussin, Watteau, Prud’hon, Delacroix, Gros, Millet, Redon, Cézanne ou Toulouse-Lautrec de cette collection sont certainement parmi les plus importants. La collection comprend également des chefs-d’oeuvre d’artistes encore oubliés naguère, mais à qui l’histoire de l’art restitue peu à peu leur place, tels La Hyre, Restout, Vincent, Peyron, Girodet, Doré ou Gustave Moreau. » »




++ L’Âge d'or de la peinture danoise (1801-1864)

Du 28 avril 2020 au 16 août 2020

« « Au printemps 2020, le Petit Palais présentera pour la première fois en France depuis près de trente-cinq ans une exposition dédiée aux plus belles heures de la peinture danoise de 1800 à 1864.
L’exposition organisée conjointement par le Nationalmuseum de Stockholm, le SMK de Copenhague et le Petit Palais inclue plus de 200 oeuvres d’artistes phares de cette période comme Christoffer Eckersberg, Christen Købke, Martinus Rørbye ou encore Constantin Hansen. Cette exposition offre l’une des analyses les plus ambitieuses de cette période artistique entreprises depuis de nombreuses années. L’accrochage se concentre sur un certain nombre de thèmes clés ayant trait aux conditions sociales, politiques, économiques et culturelles du Danemark au XIXe siècle et offre un panorama de sujets familiers tels que la vie à Copenhague, l’artiste au travail, le voyage, la peinture de paysages ou encore la famille. Peintures précises et délicates, ces oeuvres offrent une plongée dans le Danemark du XIXe.
Exposition organisée en collaboration avec le Statens Museum for Kunst, Copenhague et le Nationalmuseum, Stokholm » »





Tarifs

« La Force du dessin »
Plein tarif : 11 euros
Tarif réduit : 9 euros

« L'âge d'or de la peinture danoise »
Plein tarif : 13 euros
Tarif réduit : 11 euros

Billet combiné pour les deux expositions
Plein tarif : 16 euros
Tarif réduit : 14 euros

Horaires

Le Petit Palais est ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h
Fermé le 1er janvier, 1er mai, 14 juillet, 11 novembre et 25 décembre
Nocturne le vendredi jusqu'à 21h

2- Grand Palais (3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris )

+++ Pompéi
Promenade immersive. Trésors archéologiques. Nouvelles découvertes



Grand Palais, Salon d'Honneur - Square Jean Perrin
du 25 mars 2020 au 8 juin 2020

« « Un parcours immersif plonge le visiteur au cœur de Pompéi, du temps de sa splendeur et pendant la tragédie de sa destruction, par des projections 360° en très haute définition, des créations sonores et des reconstitutions en 3D des rues et habitations. Alliant technologies et archéologie, l’exposition raconte l’histoire fascinante de cette Cité et des (re)découvertes permises par les fouilles menées à toutes les époques, jusqu’à aujourd’hui.
  Partageant les trésors et découvertes archéologiques les plus récentes, le Grand Palais vous propose une expérience d’un genre nouveau et donne à voir Pompéi sous ses nombreux visages.
    Cette exposition est organisée par la Réunion des musées nationaux - Grand Palais et Gedeon Programmes, en collaboration avec le Parc archéologique de Pompéi. » »

+++ Noir & Blanc : une esthétique de la photographie
Collection de la Bibliothèque nationale de France



Grand Palais, Galerie sud-est
du 8 avril 2020 au 6 juillet 2020



« « Intemporel et résolument contemporain, le noir et blanc incarne l'essence de la discipline par sa force esthétique et plastique.  Terrain d’expression des plus grand(e)s photographes, il est sollicité aujourd’hui encore pour la richesse de ses nuances et sa radicalité. Le Grand Palais vous invite à découvrir 300 tirages emblématiques des collections de la BnF à travers ce thème qui embrasse l’histoire de la photographie du XXe siècle et explore l’esthétique d’une technique puissante et engagée.
  Parmi plus de 200 photographes, des tirages de Nadar, Man Ray, Ansel Adams, Willy Ronis, Helmut Newton, Diane Arbus, Mario Giacomelli, Robert Franck, William Klein, Daido Moriyama, Valérie Belin, Brassaï, et Cartier Bresson sont présentés. » »

Horaires

Lundi, jeudi et dimanche de 10h à 20h
Mercredi, vendredi et samedi de 10h à 22h
Fermeture hebdomadaire le mardi

Tarifs

Plein tarif : 15 €
Tarif réduit : 11 €
Plein tarif : 13 €
Tarif réduit : 9 €





3- Centre Pompidou (19 Rue Beaubourg 75004 Paris )

+++ Yuan Jai
Du 5 février au 27 avril 2020

Musée, niveau 4
Salle Focus

« Paysages luxuriants, bestiaires fantasmagoriques, éléments biographiques et motifs contemporains, références à l'art oriental aussi bien qu'européen… L'œuvre de l'artiste Yuan Jai (née en 1941 en Chine, résidant à Taïwan depuis 1947) occupe une place centrale dans l'art taïwanais. Travaillant à rebours des dualismes, elle interroge les possibilités plastiques d'un récit culturel complexe. »

+++ Neurones. Les intelligences simulées
Dans le cadre de Mutations / Créations

Du 26 février au 20 avril 2020
Galerie 4

« À l'heure où l’intelligence artificielle semble avoir envahi tous les domaines industriels du monde contemporain, de la finance au domaine médical, des jeux aux objets à comportement, de l’architecture au militaire, l'exposition souligne la continuité des recherches d’artistes, d’architectes, de designers et de musiciens avec celles développées par les grands laboratoires scientifiques ou ceux du monde industriel. »

+++ Jeremy Shaw
Dans le cadre de Mutations / Créations

Du 26 février au 20 avril 2020
Galerie 3

« Première grande exposition en France de l'artiste canadien installé à Berlin, Jeremy Shaw (né en 1977).
Cathartic Technology est une installation immersive sonore, qui entremêle des références aux subcultures et à la science pour interroger notre rapport au réel, tiraillé entre biotechnologies et aspiration à la transcendance. »

+++ Christo et Jeanne Claude. Paris !



Du 18 mars au 15 juin 2020
Galerie 2

« L'exposition retrace la période parisienne de Christo (né en 1935) et Jeanne Claude (1935-2009) entre 1958 et 1964, ainsi que l'histoire du projet Le Pont-Neuf empaqueté, projet pour Paris (1975-1985).
Sept années essentielles au cours desquelles Christo s'affranchit de la surface du tableau ; s'approprie et empaquette les objets du quotidien, réalise des actions en public. C'est à Paris qu'il donne une dimension monumentale à ses œuvres en concevant différents projets pour la Ville lumière. »

+++ Matisse



Du 13 mai au 31 août 2020
Galerie 1


« Hommage à l'artiste français Henri Matisse (1869-1954) à l'occasion du cent-cinquantième anniversaire de sa naissance. À travers les chefs-d'œuvre de la collection du Centre Pompidou notamment, l'exposition retrace la carrière de Matisse selon un parcours chronologique. Elle invite à la redécouvrir sous un jour singulier : à travers l'intrication texte/image dans sa création, un rapport ininterrompu de l'œuvre au mot. »

+++ Alice Neel.
Un regard engagé



Du 10 juin au 24 août 2020
Galerie 4


« Traversant les périodes de l'abstraction, du Pop Art, de l'art minimal et conceptuel, l'artiste américaine Alice Neel (1900-1984) est toujours restée à contre-courant des avant-gardes et fidèle à une figuration très personnelle.
La rétrospective que lui consacre le Centre Pompidou propose de redécourvir son œuvre à travers deux thèmes majeurs : la lutte des classes et la lutte des sexes. Elle met en lumière l'engagement politique et social d'une artiste pour laquelle l'acte de peindre est fondamentalement recherche de vérité. »

Horaires :

Centre Pompidou : Tous les jours de 11h à 21h
sauf les mardis et le 1er Mai
Le jeudi jusqu’à 23h (uniquement pour les expositions temporaires du niveau 6)
Clôture des caisses 1h avant la fermeture

AtelierBrancusi : Tous les jours 14h-18h

Bibliothèque publique d'information : Du lundi au vendredi 12h-22h
Samedis, dimanches et jours fériés 11h-22h
Jour de fermeture : mardi

Tarifs :

Billet « Musée et Expositions »
TP : 14 euros
TR : 11 euros

4- Fondation Cartier (261 bvd Raspail 75014 Paris)

Claudia Andujar
La Lutte Yanomami

Du 30 janvier au 10 mai 2020

« « La Fondation Cartier pour l’art contemporain présente la plus vaste exposition jamais consacrée à l’œuvre de la grande photographe brésilienne Claudia Andujar qui, depuis les années 1970, dédie sa vie à la photographie et à la défense des Yanomami, peuple amérindien parmi les plus importants de l’Amazonie brésilienne. » »
« « Fruit de plusieurs années de recherche dans les archives de la photographe, cette exposition, conçue par Thyago Nogueira pour l’Instituto Moreira Salles au Brésil, présente son œuvre à travers plus de 300 photographies en noir et blanc ou en couleur dont un grand nombre d’inédits, une installation audiovisuelle ainsi que des dessins réalisés par des artistes Yanomami et des documents historiques. Reflétant les deux versants indissociables de sa démarche, l’un esthétique, l’autre politique, elle révèle à la fois la contribution majeure de Claudia Andujar à l’art photographique et le rôle essentiel qu’elle joue en faveur de la défense des droits des Indiens Yanomami et de la forêt qu’ils habitent. » »



Horaires

Ouverture du mardi au dimanche de 11h à 20h.
Nocturne le mardi jusqu'à 22h
fermé le lundi
Tous les jours visite guidée à 18h avec le billet d'entrée

Tarifs

Plein tarif 10,50 euros
Tarif coupe-file internet 11 euros
Tarif réduit 7 euros (7,50 en ligne)
Enfant de moins de 13 ans gratuit

5- Musée Jacquemard-André (158 boulevard Haussmann 75008 Paris )

Turner, peintures et aquarelles
Collections de la Tate

Du 13 Mars au 20 juillet 2020

« « En 2020, le musée Jacquemart-André présente une rétrospective de Joseph Mallord William Turner (1775-1851). Incontestablement le plus grand représentant de l’âge d’or de l’aquarelle anglaise, il en exploita les effets de lumière et de transparence sur les paysages anglais ou les lagunes vénitiennes.
  Cette exposition révèle le rôle qu’ont joué les aquarelles dans la vie et l’art de Turner, des oeuvres de jeunesse qu’il envoya à la Royal Academy aux fascinantes expérimentations lumineuses et colorées de sa maturité. Pour un public moderne, ces dernières comptent parmi ses oeuvres les plus radicales et accomplies.
  Grâce aux prêts exceptionnels de la Tate Britain de Londres, qui abrite la plus grande collection de Turner au monde, le musée Jacquemart-André accueille une exposition de 60 aquarelles et quelque 10 peintures à l’huile, dont certaines n’ont jamais été présentées en France.
Outre ses œuvres achevées destinées à la vente, Turner conservait pour lui-même un fonds considérable d’oeuvres, laissé à sa mort dans sa maison et dans son atelier. Avec leur caractère propre, ces esquisses, plus expressives et expérimentales, sont certainement plus proches de sa vraie nature que celles peintes pour le public. Au total, après la mort de l’artiste, la nation britannique en 1856 reçoit un legs immense comprenant une centaine de peintures à l’huile, des études inachevées et des ébauches, ainsi que des milliers d’oeuvres sur papier : aquarelles, dessins et carnets de croquis.
L’écrivain John Ruskin, l’un des premiers à avoir étudié l’ensemble de ce legs, observa que Turner avait réalisé la plupart de ces oeuvres « pour son propre plaisir ». Aujourd’hui conservé à la Tate Britain, ce fonds révèle toute la modernité de ce grand peintre romantique. L’exposition dévoile une partie de ce fonds intime qui offre des points de vue uniques sur l’esprit, l’imagination et la pratique privée de Turner.
Cette monographie évoque le jeune Turner, issu d’un milieu modeste. D’abord autodidacte, il travaille chez un architecte, prend des cours de perspective et de topographie, puis entre à l’école de la Royal Academy à l’âge de quatorze ans. Insatiable voyageur, il s'affranchit progressivement des conventions du genre pictural et met au point sa propre technique.
Un parcours chronologique permet de suivre pas à pas son évolution artistique : de ses œuvres de jeunesse d’un certain réalisme topographique aux œuvres de sa maturité, plus radicales et accomplies, fascinantes expérimentations lumineuses et colorées. Associées ici à quelques aquarelles achevées et peintures à l’huile pour illustrer leur influence sur la production publique de Turner, ces œuvres très personnelles demeurent aussi fraîches et spontanées que lorsqu’elles sont nées sur le papier. » »

Horaires

Le Musée Jacquemart-André est ouvert tous les jours y compris les jours fériés de 10h à 18h.
Nocturnes le lundi jusqu’à 20h30.

Tarifs
 

PT 15 euros
TR 65 ans et plus 14 euros
tarif réduit 12 euros
tarif étudiant 10 euros
Tarif 7-25 ans 7,5 euros
Gratuit pour les moins de 7 ans

6- Musée Maillol (61 Rue de Grenelle 75007 Paris )

Du Douanier Rousseau à Séraphine
Les grands maîtres naïfs

Du 11 septembre 2019 au 23 février 2020

« « Le Musée Maillol accueille plus d’une centaine d’œuvres issues du monde passionnant, rêveur, insolite et inépuisable des artistes dit "naïfs". Appelés "primitifs modernes" par l’un de leurs fervents défenseurs, le collectionneur et critique d’art Wilhelm Uhde (1874-1947), ces artistes renouvellent la peinture à leur manière, à l’écart des avant-gardes et des académismes.
Réunies pour la première fois à Paris, leurs oeuvres aux couleurs éclatantes livrent un pan souvent négligé de l’histoire de l’art de l’entre-deux guerres. Sur les pas d’Henri Rousseau et de Séraphine Louis, l'exposition vise à sortir de l'oubli une constellation d'artistes tels qu’André Bauchant, Camille Bombois, Ferdinand Desnos, Jean Ève, René Rimbert, Dominique Peyronnet et Louis Vivin. L’exposition, à travers un parcours thématique, soulignera les qualités picturales de ces artistes, au-delà de l’anecdote biographique qui a longtemps constitué le seul commentaire disponible sur eux. Une sélection d’oeuvres étonnantes et à contre-courant, issues d’importantes collections publiques et privées françaises et internationales révélera la grande inventivité formelle de chaque artiste, sans dissimuler les dialogues qu’ils entretiennent avec la tradition picturale comme avec la création de leur temps.
En croisant approches historique, analytique et sensible des oeuvres et de leur présentation au monde, le Musée Maillol lèvera le voile sur la dimension subversive de l’art dit naïf et présentera ces naïfs, primitifs, modernes ou anti modernes, comme des grands artistes à contre-courant des avant-gardes. » »

Horaires d'ouverture

de 10h30 à 18h30 tous les jours
Nocturne le vendredi jusqu'à 20h30



Tarifs

Plein tarif : 13,50 €
Tarif senior 12,50 euros
Tarif réduit : 11,50 euros
Tarif 7-25 ans : 9,50 euros
Gratuit pour les moins de 7 ans

7- Musée d'Orsay (1 rue de la Légion d'Honneur 75007 Paris)

+++ Léopold Chauveau (1870-1940)
Au pays des monstres

10 mars - 28 juin 2020

« « Parallèlement à son activité de médecin, embrassée par obligation familiale mais qu'il n'appréciait guère, Léopold Chauveau s'est réfugié en autodidacte dans un univers artistique étrange, aussi singulier qu'original. A la fois sculpteur, illustrateur et auteur de livres pour adultes et enfants, il est longtemps resté oublié de l'histoire de l'art, avant qu'une donation de son petit-fils au musée d'Orsay en 2017 (18 sculptures et 100 dessins) ne remette son nom en lumière.
Personnalité atypique, Chauveau s'initie à la sculpture vers 1905 alors qu'il exerce la médecine depuis plusieurs années. Dès 1907, les monstres deviennent un leitmotiv de sa production, en sculpture comme en dessin.
Hybrides, ses créatures sont souvent attachantes, maladroites et comme étonnées de leur propre présence. Semblant sortir de son inconscient, elles constituent pour Chauveau de véritables compagnons, le peuple d'un monde imaginaire dans lequel il trouverait refuge.
Malgré leur singularité, les monstres sculptés de l'artiste peuvent s'inscrire dans une généalogie de l'histoire de l'art, on pense notamment aux gargouilles médiévales ou à des influences japonaises. En dessin, Chauveau adopte un trait synthétique, précis et incisif pour représenter ses personnages dans un style naïf, dans des décors simplifiés mais explicites.
Ses cadrages traduisent la dimension narrative et parfois dramatique de ses séries.
A partir des années 1920, il imagine des paysages monstrueux : étendues antédiluviennes et désertiques où évoluent des monstres biomorphes qui se plient à des activités étranges. Chauveau a aussi illustré de grands classiques (L'Ancien et le Nouveau Testament, Les Fables de La Fontaine), dont il a même parfois revisité le texte (Le Roman de Renard), et a également créé des histoires attachantes et fantastiques d'animaux et d'enfants.
Cette exposition permet une complète redécouverte d'un oeuvre sans équivalent à son époque. Elle s'articule autour de deux grands axes : d'une part la personnalité, la vie et l’œuvre de Léopold Chauveau et de l'autre son univers pour les enfants qui saura fasciner les plus jeunes visiteurs. » »

+++ James Tissot
L'ambigu moderne

24 mars - 19 juillet 2020

« « Né à Nantes, formé à l’École des Beaux-Arts de Paris et ayant mené carrière des deux côtés de la Manche, Jacques Joseph Tissot, est un artiste majeur de la seconde moitié du XIXe siècle, à la fois ambigu et fascinant.
S'il est très régulièrement représenté dans les expositions dédiées à cette période, cette rétrospective est la première qui lui est consacrée à Paris depuis celle organisée au Petit Palais en 1985.
A la fin des années 1850, Tissot fait ses premières armes dans la capitale où sa passion pour l'art japonais comme ses relations avec les cercles les plus influents nourrissent sa peinture. Dans le creuset parisien, à une époque où la modernité théorisée par Baudelaire trouve son expression sous le pinceau de Whisler, Manet ou Degas, Tissot et son esprit dandy sont appréciés par la société mondaine.
Après la guerre de 1870 et la Commune de Paris, il s'installe à Londres et poursuit une carrière en vue qui le voit naviguer dans les meilleures sphères.
Peu à peu, son œuvre se concentre sur la figure radieuse puis déclinante de sa compagne Kathleen Newton, incessamment présente dans ses tableaux. La mort de cette dernière en 1882 scelle le retour en France de Tissot.
Sa carrière se poursuit dans la description des déclinaisons multiples de la Parisienne, objet d’un grand cycle (La Femme à Paris), et les explorations de sujets mystiques et religieux, avec le cycle du Fils prodigue et les centaines d'illustrations de la Bible, qui rendront l'artiste immensément célèbre au tournant du XIXe au XXe siècle.
Centrée sur la figure de James Tissot, veillant à ancrer l'art de ce peintre dans le contexte artistique et social de son temps, cette exposition présente les grandes réussites d'un artiste aux images souvent iconiques, et ses recherches les plus audacieuses. Elle explore également la fabrique de son oeuvre : les thèmes qui lui sont chers et leurs variations, mais également sa volonté de s'exprimer dans des techniques variées, telles que l'estampe, la photographie ou l'émail cloisonné, en sus de la peinture. » »




+++Aubrey Beardsley (1872-1898)

15 juin - 13 septembre 2020

« « L'illustrateur et graveur anglais Aubrey Beardsley meurt à l'âge de vingt-cinq ans. Sa carrière n'en est pas moins prolifique.
A vingt ans, il reçoit sa première commande importante : l'illustration de La Mort d'Arthur de Thomas Malory. Très vite, son travail se diffuse à travers la production éditoriale. Ses réalisations pour Salomé d'Oscar Wilde figurent parmi les plus célèbres.
Ses dessins, vifs et élégants, mettent en scène un univers étrange, érotique et parfois pervers, reflétant la vision du monde de cette figure originale de l'Angleterre fin-de-siècle.
Première monographie de Beardsley en France, l'exposition dévoilera une centaine de dessins qui permettront de distinguer ses influences, des préraphaélites au japonisme, et ses évolutions stylistiques. » »

Ouverture

de 9h30 à 18h le mardi, le mercredi, le vendredi, le samedi et le dimanche
de 9h30 à 21h45 le jeudi
fermeture les lundis, 1er mai et 25 décembre

Tarifs

Plein tarif 14 euros collections permanentes + temporaires
Tarif réduit 11 euros
Gratuit pour les moins de dix huit ans
Couplage Musée d'Orsay/Musée de l'Orangerie 18 euros
Couplage Musée d'Orsay/ Musée Rodin 18 euros

8- Musée du Quai Branly (37 Quai Branly 75007 Paris )

+++ Helena Rubinstein
La collection de Madame

19 nov. 2019 - 28 juin 2020

« Personnalité hors-norme, première femme d’affaires du XXe siècle, self-made-woman affranchie et visionnaire… Si les superlatifs fusent pour décrire l’ascension vertigineuse d’Helena Rubinstein (1870-1965), l’Impératrice de la beauté selon Cocteau, on en oublie parfois son parcours de collectionneuse aguerrie et son rôle pionnier dans la reconnaissance des arts africains et océaniens en Europe et outre-Atlantique. Construite essentiellement à Paris, au gré de ses rencontres, « la collection de Madame », aujourd’hui dispersée, rassemblait plus de 400 pièces d’art extra-européen, précieux gardiens de reliquaires kota ou fang, pièces d’exception baoulé, bamana, senoufo ou dogon, qui voisinaient avec les œuvres de peintres et sculpteurs de la modernité, Chagall, Braque ou Picasso, et beaucoup d’autres domaines de collection.
À travers une soixantaine de pièces, l’exposition met à l’honneur sa passion pour les arts extra-occidentaux, principalement l’art africain, et sa fascination pour leur intensité expressive et leur caractère. Des arts qu’elle a découverts dans les années 1910, au contact du sculpteur Jacob Epstein puis de collectionneurs d’avant-garde parisiens, et qu’elle mettra un point d’honneur à mettre en valeur dans ses intérieurs de Paris, New-York et Londres mais aussi, dans un souci d’éducation de sa clientèle féminine, dans ses salons de beauté du monde entier et en participant à de grandes expositions. »




+++ Frapper le fer, l'art des forgerons africains

du 19 novembre 2019 au 29 mars 2020

« Peu d’endroits dans le monde ont un rapport aussi puissant avec le fer que l’Afrique subsaharienne. Depuis plus de deux millénaires, le travail de l’un des matériaux les plus fondamentaux de la planète a révolutionné le continent et façonné en profondeur ses communautés et cultures, des champs aux foyers, des terrains de bataille aux lieux religieux. Sous le marteau du forgeron africain, maître du feu et virtuose de la transformation, le métal a été fondu, forgé, martelé puis métamorphosé en objets, et parfois investis d'un pouvoir social et spirituel, avec une sensibilité artistique impressionnante.
Orchestrée par l'artiste et forgeron américain Tom Joyce et les membres du comité scientifique, l’exposition "Frapper le fer, l’art des forgerons africains" déploie une diversité de formes et de traditions autour du fer dans différentes régions du continent subsaharien. Près de 230 pièces réalisées entre le 17e siècle et l’époque contemporaine, allant de la sculpture en bois à une myriade de formes de monnaies, instruments de musique, armes, objets de prestige, témoignent du talent et des prouesses techniques des forgerons d’Afrique, personnages autant vénérés que craints. Un ensemble unique d’œuvres, de collections publiques et privées, originaires de plus de quinze pays parmi lesquels le Nigeria, le Mali, le Bénin ou la République démocratique du Congo, est réuni au musée du quai Branly - Jacques Chirac pour l’une des présentations les plus complètes jamais réalisées. »

+++ Les curiosités du monde de Françoise Huguier

du 31 mars 2020 au 14 juin 2020

« Les objets, source d’inspiration pour mes images, sont conservés chez moi comme un carnet de voyage. Prendre une photo est d’abord un concept immatériel, je vois, je shoote. Alors qu'avec un objet en volume, je m’approprie d’emblée une histoire qui ne m’appartient pas. Ce cabinet de curiosités rassemblant mes objets et mes photos, est à la fois mon microcosme et ma manière de pénétrer les secrets intimes du Monde, la rencontre du réel des objets et du virtuel des images, l’incarnation d’une culture et d’un art populaire. Je ne suis pas une collectionneuse, plutôt une ramasseuse, au gré de mes inspirations. » Françoise Huguier

+++ A toi appartient le regard et (…) la liaison infinie entre les choses

du 31 mars 2020 au 12 juil. 2020

« Photographie, vidéo, installation : pour la première fois, le musée du quai Branly-Jacques Chirac consacre dans ses murs une exposition d’envergure à l’image contemporaine sous toutes ses formes. Dans le sillage de son programme de résidences et des prospections menées depuis une dizaine d'années, l’exposition met à l’honneur vingt-six artistes extra-européens. Des artistes aux profils très divers, jeunes et émergents comme Gosette Lubondo (RDC), Lek Kiatsirikajorn (Thaïlande) ou José Luis Cuevas (Mexique), mais aussi de nombreux auteurs majeurs, parmi lesquels Dinh Q. Lê (Vietnam), José Alejandro Restrepo (Colombie), Dayanita Singh (Inde), Sammy Baloji (République démocratique du Congo), Rosângela Rennó (Brésil) ou Brook Andrew (Australie). Au sein d’un parcours s’ouvrant sur l’œuvre spectaculaire du camerounais Samuel Fosso, l'exposition organise des rencontres fécondes entre des œuvres rarement vues en France. Elles évoquent les rapports à l’image, la perception du monde et la représentation de soi (The Black Photo Album / Look at me: 1880-1950 du sud-africain Santu Mofokeng), celle du paysage et des territoires (les travaux de Carlos Garaicoa, Heba Y. Amin, Mario García Torrès) ou la réappropriation du récit historique et politique (The Indian Project: Rebuilding History du mexicain Yoshua Okón). » »

+++ Les olmèques et les cultures du golfe du Mexique

Du 19 mai 2020 au 15 nov. 2020

« « C’est au cœur des régions du golfe du Mexique, sur un terrain marécageux situé au sud des États actuels de Veracruz et de Tabasco, que s’est épanouie la culture olmèque – du mot Olmán, « pays du caoutchouc » – donnant naissance à l’une des plus importantes et mystérieuses civilisations mésoaméricaines. Une civilisation d’une profonde sensibilité artistique, restée méconnue jusqu’à la deuxième moitié du XIXe siècle, qui a pourtant joué un rôle éminent dans l’histoire du Mexique et de sa région. En témoigne la mise en place d’une pensée et de canons mésoaméricains (économiques, sociaux, politiques, intellectuels et artistiques) qui perdureront jusqu’à la conquête espagnole.
L’exposition présentée au musée du quai Branly – Jacques Chirac met en lumière la richesse de la culture olmèque et sa diffusion dans le temps (1600 av. è.c. jusqu’à 100 ap. è.c) et l’espace. En tout, plus de deux cents pièces, dont certaines sont montrées pour la première fois hors du Mexique, dévoilent l’immense diversité du monde précolombien des cultures du Golfe, une dynamique pluriculturelle qui se déploie à travers une multitude de traditions artistiques, croyances et rites, langages, et dans un tissu complexe de relations politiques et économiques. » »

+++ Carnets Kanak
Voyage en inventaire de Roger Boulay

Du 07 juil. 2020 au 01 nov. 2020

« « Roger Boulay, collaborateur de l’Agence du Développement de la Culture Kanak de 1979 à 1998, se vit confier par Jean-Marie Tjibaou et son équipe, une exceptionnelle mission d’Inventaire du Patrimoine Kanak Dispersé (IPKD) dans les musées et collections publiques du monde entier. Il réalisa cet important travail de recensement en étroite collaboration avec Emmanuel Kasarhérou, aujourd’hui Adjoint au Directeur du patrimoine et des collections, Responsable de la coordination scientifique des collections du musée du quai Branly Jacques Chirac. Un minutieux travail d’enquête documenté par plus de 3 000 croquis et fines aquarelles des objets inventoriés.
À travers un dialogue entre les carnets originaux et des œuvres conservées au musée, l’exposition propose d’entraîner les visiteurs dans « l’aventure de l’inventaire », de manière à en appréhender la réalité concrète et de mettre en lumière les étapes, les acteurs et les enjeux mémoriels de cette mission colossale. » »

Tarifs

expositions permanentes
PT : 12 euros
TR : 9 euros

expositions temporaires
PT : 12 euros
TR : 9 euros

billets jumelés
PT : 12 euros
TR : 9 euros

Horaires :

mardi, mercredi, vendredi, samedi et dimanche de 10h 30 à 19h
jeudi de 10h30 à 22h
fermeture le lundi, le 25 décembre et le 1er mai.



9- Musée de la Vie Romantique (16 Rue Chaptal 75009 Paris)

Cœurs. Du romantisme dans l’art contemporain

Du 14 février au 12 juillet 2020

« « Cette exposition souhaite ouvrir la programmation du musée au-delà du XIXe siècle en explorant les prolongements du romantisme dans l’art contemporain, en résonance avec ses collections. À la manière des écrivains et peintres romantiques qui inscrivaient les passions au cœur de leur création, l’exposition invite à une découverte esthétique du cœur et de sa représentation. Le cœur en tant qu’organe, motif et symbole est présenté ici à travers différentes techniques : peinture, dessin, sculpture, céramique, néon et photographie. Certains artistes évoquent leurs sentiments et leurs tourments intérieurs en harmonie avec le romantisme du XIXe siècle. D’autres reprennent le motif en tant que forme esthétique et invitent à des pensées humanistes en ouvrant des horizons de sensibilité vers le rêve, l’idéal et le sublime. Outre les figures emblématiques de Niki de Saint Phalle, Jim Dine, Annette Messager, Sophie Calle, Pierre et Gilles, Jean-Michel Othoniel et Françoise Pétrovitch, le visiteur pourra découvrir dans cette présentation une vingtaine d’autres artistes.
Le parcours se décline en sept sections autour d’un récit sur l’amour et se poursuit dans l’ensemble du musée et du jardin, invitant le visiteur à revoir de façon sensible et poétique les collections permanentes. Le principe de la déambulation permet de faire ressentir au public les multiples nuances du sentiment amoureux en évoquant les grands thèmes de la séduction, du coup de foudre, de la déclaration d’amour, de l’érotisme, de la rupture, du deuil et de l’amour éternel. Des miniatures, dessins et objets précieux, aux côtés de formats plus spectaculaires, mêlant une approche naturaliste à une vision idéaliste, illustrent ce motif populaire, son sens symbolique et ses appropriations esthétiques dans l’art d’aujourd’hui.
Cette exposition a ouvert le 14 février, pour la Saint-Valentin, lors d’une journée gratuite exceptionnelle de 10h à 22h, destinée à tous les amoureux de l’art, de la musique et de la poésie. Une riche programmation culturelle, des animations et des dispositifs de médiation comme un photomaton, un parcours de visite pour les enfants, une carte du cœur ainsi que des visites guidées et des ateliers pour les familles, feront battre le cœur du public au musée de la Vie romantique. » »

Horaires du musée :

du mardi au dimanche de 10h à 18h
Fermé les lundis et jours fériés

Tarifs du musée : Gratuit hors expos

Expos :Plein tarif : 9 €
Tarif réduit : 7 €
Tarif combiné 16 euros et 14 euros

10- Musée Cernuschi (7 avenue Vélasquez 75008 Paris )

Musée fermé à partir du 2 Mai 2019 pour travaux, réouverture en mars 2020

Horaires

Musée ouvert du mardi au dimanche
de 10h à 18h sans interruption.
Fermé les jours fériés

Tarifs

Plein tarif : 6 €
Tarif réduit : 4 €
Gratuit pour les moins de 18 ans.
L'entrée des collections permanentes est gratuite.

11- Musée du Louvre ( 162 rue de Rivoli, 75001 Paris )

Figure d’artiste



du 25 Septembre 2019 au 29 Juin 2020


« « La Petite Galerie du Louvre propose, pour sa 5e saison, une exposition intitulée « Figure d’artiste ». Elle accompagne le cycle d’expositions que le musée consacre en 2019-2020 aux génies de la Renaissance : Vinci, Donatello, Michel-Ange ou Altdorfer. C’est à la Renaissance que l’artiste affirme son indépendance et cherche à quitter le statut d’artisan pour revendiquer une place particulière dans la cité. Cette invention de la figure de l’Artiste a cependant une histoire plus ancienne et complexe que l’ampleur des collections du Louvre permet de mesurer, des premières signatures d’artisans dans l’Antiquité aux autoportraits de l’époque romantique. La signature, l’autoportrait,  l’invention du genre de la biographie d’artiste servent son dessein : mettre en images les mots et accéder à la renommée accordée aux poètes  inspirés par les Muses. En France, l’Académie royale de peinture et de sculpture et le Salon, première exposition temporaire d’art contemporain, apportent, sous le regard de la critique, la reconnaissance et les commandes aux artistes avant qu’ils ne soient consacrés par leur entrée au musée. C’est ainsi que le lien ancien entre les arts visuels et les texte  a conduit à inviter, cette année, la littérature pour un dialogue fécond entre textes et images. » »

Horaires

Ouvert tous les jours de 9h à 18h, sauf le mardi.
Nocturnes les mercredi et vendredi jusqu'à 21h45.
Lieu : Rotonde Sully

Tarif

Billet unique 17 euros

12- Musée Rodin (79 Rue de Varenne 75007 Paris )

+++Barbara Hepworth



Du 5 novembre 2019 au 22 mars 2020

« Le musée Rodin, en collaboration avec la Tate, présente l’œuvre de Barbara Hepworth (1903-1975), figure majeure de la sculpture britannique du XXe siècle. Encore aujourd’hui méconnue en France, Barbara Hepworth, qui côtoyait Henry Moore, Picasso ou Mondrian, a pourtant révolutionné la sculpture et fait émerger une nouvelle sensibilité esthétique. Ses œuvres abstraites, aussi pures que poétiques aspirent à un monde idéal et pacifique. Le musée Rodin rend hommage à cette femme artiste et présente ses œuvres saisissantes, entre vide et plein, qui s’emparent du visiteur et ne le quittent plus.
Une nouvelle esthétique, la sculpture d'un monde moderne :
Après Rodin (1840-1917), l’éclosion d’une nouvelle sculpture émerge. En 1905, Maillol redonne à la statuaire densité et autonomie. À partir de 1909, Brancusi porte ce retour aux caractères fondateurs de la sculpture à sa plus grande épure. Le deuxième acte se déroule durant les années 1920, avec en Angleterre, Moore et Hepworth.
Loin de l’expressionnisme puissant de Rodin, Hepworth est en quête d’une nouvelle esthétique, privilégiant le langage des volumes et des formes. L’animal et le végétal sont les deux grandes sources d’inspiration de la poésie du volume développée par Barbara Hepworth.
La sculpture organique de Hepworth est aussi une vision du monde : après la Première Guerre mondiale, la société trouve dans cette nouvelle sensibilité une vision pacifiée loin des atrocités de la guerre. Le vocabulaire d’Hepworth s’oppose aux mondes du pathos, de la construction ou de l’univers machiniste. En 1934, elle écrit que son objectif est de « projeter dans un médium plastique un peu de la vision abstraite et universelle de la beauté ». Son art réside tout entier dans le jeu entre formes convexes et concaves, dans une constante opposition entre vide et plein. Sous les dehors silencieux des formes pleines, l’univers de la sculpteur devient le lieu d’une nouvelle aspiration à un monde idéal, pour éviter, selon Hepworth, de « s’abandonner au désespoir ».
Cette exposition permet d’avoir une vue d’ensemble de sa carrière et de son œuvre sculptée peinte et dessinée, ainsi qu’un aperçu de ses méthodes de travail grâce à l’évocation de son atelier. De nombreuses archives inédites provenant de la famille complètent le parcours de l’exposition.
En France, avec son mari Ben Nicholson, elle fréquente les milieux artistiques, visite Brancusi, Picasso, Braque, Mondrian et rencontre Arp, Calder, Mirò. Barbara Hepworth travailla à partir de 1939 en Cornouailles dont les paysages influencèrent son oeuvre. Plus encore, elle a de son vivant une aura immense en Angleterre : la reine la fait Commandeur de l’Ordre de l’Empire Britannique. Dès 1936, le MoMA de New York lui achète une œuvre. Les expositions se succèdent : à la Biennale de Venise, San Francisco, Sao Paulo ou Tokyo.
Le musée Rodin est un des très rares lieux français dans lesquels Barbara Hepworth présente ses oeuvres de son vivant. Il revenait donc au musée Rodin, qui l’avait accueillie lors de manifestations collectives il y a plus de 60 ans, de faire découvrir au public français la quintessence de son univers poétique et saisissant. »

+++ Une exposition, deux lieux
Picasso - Rodin

Musée Picasso du 15 septembre 2020 au 7 mars 2021

Musée Rodin du 15 septembre 2020 au 7 mars 2021

« « La confrontation du travail des deux monstres sacrés Auguste Rodin (1840-1917) et Pablo Picasso (1881-1973) révèle des points de contacts déjà connus, mais aussi des rencontres inédites. Les inventions formelles de ces deux artistes hors du commun marquent à leurs époques respectives des tournants dans l’art moderne. Le croisement de leur processus créatif mettra donc en lumière des convergences saisissantes qui jalonnent leurs recherches, comme l’expérimentation, le travail en séries et la perpétuelle mutation des formes.  Déclinée simultanément au musée national Picasso-Paris et au musée Rodin, l'exposition permettra de découvrir un dialogue entre les deux artistes et maintes facettes de ces proximités inattendues. » »

Horaires

Ouvert tous les jours sauf le lundi
de 10h à 18h30

Tarifs

Tarif plein 12 €
Tarif réduit 18 à 25 ans hors de l'UE 9 €

13- Musée Marmottan-Monet (2 Rue Louis Boilly 75016 Paris)

Les dialogues inattendus
Colombet / Monet
L’empreinte de l’eau



du 28 avril au 25 octobre 2020

« « Le musée Marmottan Monet invite pour le troisième opus des Dialogues inattendus, l’artiste franco-américaine Vicky Colombet, nominée au prix Joan Mitchell Foundation Painters and Sculptors et lauréate du Pollock-Krasner Foundation. Peintre abstrait, elle compose des paysages méditatifs et sensibles. À la proposition qui lui a été faite par le musée de dialoguer avec les pièces des collections, l’artiste s’est naturellement tournée vers l’œuvre de Monet. » »

Horaires

Musée ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h
Nocturne le jeudi jusqu'à 21h
Fermé le lundi et les jours fériés

Tarifs

Plein tarif 12 euros
Tarif réduit 8,50 euros
Gratuit en dessous de 7 ans

14- Musée de l'Orangerie (Jardin Tuileries 75001 Paris)

Giorgio de Chirico. La peinture métaphysique

Exposition du 1er avril au 13 juillet 2020

« « L’exposition Giorgio de Chirico. La peinture métaphysique retrace le parcours et les influences artistiques et philosophiques qui ont nourri l’artiste Giorgio de Chirico de Munich à Turin, puis à Paris où il découvre les avant-gardes picturales de son temps et enfin à Ferrare. De manière inédite, seront mis en lumière les liens du peintre, découvert par Apollinaire puis soutenu par le marchand Paul Guillaume, avec les cercles culturels et littéraires parisiens.
Né en Grèce et formé dans le creuset de la culture classique et du romantisme allemand tardif, De Chirico développe les fondements d’une nouvelle conception artistique aux côtés de son frère cadet Alberto Savinio. Élève à l’Académie des Beaux-Arts de Munich à partir de 1908, il découvre la pensée de Nietzsche et Schopenhauer ainsi que les œuvres de Böcklin et de Klinger. Après un passage à Milan puis Florence, c’est cependant depuis la France, à Paris dès l’automne 1911, qu’il met en place un vocabulaire plastique singulier au contact des révolutions picturales modernistes. Il est très vite remarqué par certaines personnalités artistiques de son temps. Guillaume Apollinaire, Maurice Raynal et André Salmon, mais aussi André Breton, Paul Éluard, Jean Paulhan, sont parmi les premiers à s’intéresser à son œuvre et à la promouvoir.
L’exposition trouve ainsi toute sa place au musée de l’Orangerie autour de la figure de Paul Guillaume qui fut le tout premier marchand de Giorgio de Chirico. De retour en Italie en 1915, il est envoyé avec son frère Savinio à Ferrare pour des raisons militaires et y poursuit ses recherches picturales. La période ferraraise (juin 1915-décembre 1918) est l’occasion pour les peintres Carlo Carrà et Giorgio Morandi de fréquenter les deux frères permettant ainsi la formation de ce que l’on qualifiera plus tard d’"école métaphysique" et sur laquelle se clôt l’exposition. » »



Horaires
Le musée est ouvert de 9h à 18h, tous les jours
sauf le mardi, le 1er Mai, le 14 juillet et le 25 décembre

Tarifs
Entrée tarif : 6,50 €
gratuit pour les moins de 18 ans

15- Musée du Luxembourg (19 Rue de Vaugirard 75006 Paris)

Les nabis et le décor

Du 13 mars au 30 juin 2019

« « Véritables pionniers du décor moderne, Bonnard, Vuillard, Maurice Denis, Sérusier, Ranson, ont défendu un art en lien direct avec la vie, permettant d’introduire le Beau dans le quotidien. Dès la formation du groupe, à la fin des années 1880, la question du décoratif s’impose comme un principe fondamental de l’unité de la création. Ils prônent alors une expression originale, joyeuse et rythmée, en réaction contre l’esthétique du pastiche qui est en vogue à l'époque.
Cette exposition est la première en France consacrée à l’art décoratif et ornemental des Nabis. Il s’agit pourtant d’un domaine essentiel pour ces artistes qui voulaient abattre la frontière entre beaux-arts et arts appliqués.
Le parcours montre une sélection représentative de leurs œuvres, qui se distinguent par des formes simplifiées, des lignes souples, des motifs sans modelé, influencées par l’art japonais. Réunissant une centaine de peintures, dessins, estampes et objets d’art, elle permet de montrer des ensembles décoratifs aujourd’hui dispersés. » »

Horaires

Le Musée est ouvert :
tous les jours de 10h30 à 19h
nocturne jusqu’à 22h les lundis
les 24 et 31 décembre de 10h30 à 18h - fermé le 25 décembre

Tarifs

Tarifs :Plein Tarif : 13,00 euros
Tarif Réduit : 9,00 euros
Spécial Jeune : 9,00 euros du lundi au vendredi à partir de 17h, deux entrées pour le prix d’une au tarif 16 à 25 ans
Gratuité pour les moins de 16 ans

16- Pinacothèques de Paris

Fermée





17-Musée Guimet (6 Place d'Iéna 75116 Paris)

Carte blanche à Ru Xiao Fan

Du 11 mars au 8 juin 2020

« « Ru Xiao Fan, peintre, sculpteur, conteur, amoureux de la vie, poète de l’humour, a imaginé pour le MNAAG un panthéon de 72 divinités délicates et facétieuses sculptées en porcelaine de Jingdezhen.
En résonance avec l’espace sacral de la rotonde, ces figures de méditation exaltent le geste millénaire des artistes de la porcelaine, mêlant biscuit sans glaçure et glaçure céladon ou blanc bleuté. L’assise de ces sculptures est composée des bols de cuisson des fours Song que l’artiste découvrait par hasard il y a dix ans sur un marché de la ville de Jingdezhen.
Les personnages à tête de fleurs sont caractéristiques de la production de l’artiste. Ils évoquent à la fois le mandala bouddhique mais aussi la tradition céramique du site de Jingdezhen. C’est en visitant le musée que l’artiste s’est rappelé qu’il avait représenté un bouddha assis sur un grand plat avec un bouquet de fleurs à la place de la tête. Il décida de reprendre en partie cette idée et de fixer sur les assiettes serties dans leur socle un moine en céramique (appelé luohan ou arhat – un disciple du Bouddha) et de disposer les pièces en éventail, forme parfaitement adaptée à l’espace circulaire. Telle une ode du cheminement, chacune des figures installées sur une boule de cristal, comme en apesanteur, semble voler sur la mer ou dans le ciel.
Ru Xiao Fan est né en 1954 à Nankin (Chine). Il est diplômé des Beaux-Arts de l’École Normale Supérieure de Nankin en 1982 et de l’École nationale des Beaux-Arts de Paris en 1986. Il a été  boursier de la Casa Velasquez à Madrid en 1988 et 1990. Il vit et travaille à Paris. De par sa double éducation artistique, Ru Xiao Fan passe tour à tour d’un langage pictural occidental rappelant le Pop Art, à des sculptures réalisées dans des techniques traditionnelles chinoises telles la laque et la porcelaine. Si la consommation moderne et la nature morte sont des sujets récurrents dans son œuvre, les fleurs en sont un thème majeur depuis sa série de peintures intitulées 100 fleurs (2003), faisant référence au mouvement « Que cent fleurs s’épanouissent » (1957). » »

Horaires

Le musée est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 18h.



Tarifs :

collections permanentes, billets hors exposition temporaire
8,50 euros PT
6,50 euros TR
Billet jumelé collections permanentes et temporaire
11,50 euros PT
8,50 euros TR
Gratuit pour les moins de 18 ans.

18- Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris (11 Avenue du Président Wilson  75116 Paris)

+++ La vie moderne, Nouveau parcours dans les collections

Du 11 octobre 2019 au 30 septembre 2020

En parallèle des expositions temporaires, le public pourra découvrir une nouvelle présentation des collections, intitulée La vie moderne, permettant de revisiter un siècle d’histoire de l’art à travers des œuvres majeures.
« Le parcours est également inspiré par les grandes étapes de la construction du bâtiment qui l’abrite, et par les grandes donations qui ont enrichi la collection jusqu’à nos jours.
En mai 1937, Paris inaugurait l’Exposition internationale des arts et des techniques dans la vie moderne et le musée ouvrait pour la première fois ses portes, au sein d’une aile du Palais de Tokyo. Prenant pour point de départ ce moment fondateur, l’accrochage se déploie à partir des salles monumentales où sont présentés les Rythmes des Delaunay, évocation de ce nouveau décor de « la vie moderne » qui accompagne les premières décennies du XXème siècle. Il se développe ensuite à travers une présentation chronothématique, autour des principaux chefs-d’œuvre, entrés dans les collections grâce à la générosité de grands donateurs (Vollard en 1937, Girardin en 1953, Amos en 1955, Henry-Thomas en 1976, 1984, 1986). Sont ainsi représentés Picasso, Matisse, Braque, Derain, Dufy, Freundlich, Léger, Buffet, Rouault, Bonnard, Vuillard, Fautrier, Picabia, Ernst, De Chirico… En écho aux mouvements artistiques qui ont façonné l’histoire de l’art depuis le fauvisme et le cubisme, l’accent est mis à la fois sur le surréalisme et sur les réalismes, ainsi que sur l’abstraction et les nouveaux courants d’après-guerre qui se sont épanouis à Paris, devenue « capitale de l’art moderne ».
Le parcours se poursuit avec les nouvelles voies ouvertes par les artistes dans les dernières décennies du XXème siècle, alors qu’ils cherchent à combler définitivement le fossé entre l’art et la vie, autour du mouvement Fluxus et de la figure de Beuys, interrogeant la place et le rôle de l’artiste dans la société. Grâce à la donation Werner, une séquence est dédiée aux artistes allemands confrontés aux mêmes enjeux outre-rhin. La présentation se poursuit avec les formes d’abstractions radicales et les nouveaux défis de la peinture contemporaine, qui remettent en perspective le geste artistique et la création picturale au tournant du XXIeme siècle. Le parcours s’achève autour des dernières acquisitions contemporaines, qui participent à l’élaboration d’une nouvelle idée de la modernité, reflet de nos sociétés actuelles. »

+++ Sarah Moon Passé Présent

Du 24 avril au 16 août 2020

« « Le Musée d’Art Moderne de Paris présente l’exposition « PasséPrésent » autour de l’œuvre de Sarah Moon. Reconnue comme une grande photographe de mode, active en France et à l’étranger depuis la fin des années soixante, ses réalisations débordent pourtant ce seul domaine, et l’exposition souhaite faire découvrir la singularité de son travail, tant photographique que cinématographique, oscillant entre reflets et transparence, mirages et obscurité.
Dans le prolongement de sa carrière de mannequin, au début des années soixante, Sarah Moon commence à pratiquer la photographie en autodidacte et reçoit ses premières commandes. En 1968, sa collaboration avec Corinne Sarrut pour l’image de la marque Cacharel bénéficie d’un écho international dans la photographie de mode, dominée par les hommes. Elle façonne un imaginaire immédiatement reconnaissable au fil de ses campagnes, affiches et magazines. Les femmes qui peuplent ses photographies semblent suspendues dans le cours d’un récit où affleurent les références littéraires et cinématographiques. En 1985, à la mort de son assistant, Mike Yavel, Sarah Moon développe une pratique personnelle, au-delà des commandes qui continuent d’affluer. Des thématiques apparaissent de façon rémanente dans ses photographies, à traversune recherche perpétuelle de l’imprévisible et de l’instant suspendu.
À rebours de tout déroulé chronologique, Sarah Moon a souhaité croiser pour cette exposition les époques, les typologies, les sujets, afin de montrer leurs porosités. Le parcours est constitué autour d’un choix de films, pour la plupart des adaptations de contes populaires, qui forment un fil narratif à partir duquel le visiteur est invité à évoluer. Chaque film – Circus (2002), Le Fil rouge (2005), Le chaperon noir (2010), L’Effraie (2004), Où va le blanc ? (2013) - fonctionne comme une escale autour de laquelle les images s’organisent et s’animent.
L’exposition est complétée par une salle, dans le parcours des collections permanentes, dédiée à Robert Delpire (1926-2017), qui partagea la vie de Sarah Moon durant quarante-huit ans. Elle présente des photographies, des affiches, des livres, des films, qui restituent les activités plurielles de ce personnage phare de l’histoire culturelle française, l’un de ses plus importants éditeurs, mais aussi directeur artistique de l’agence de publicité Delpire qu’il a créée, et fondateur du Centre National de la Photographie qu’il a dirigé de 1983 à 1996. » »

Horaires

Ouvert du mardi au dimanche de 10h00 à 18h00 (dernière entrée 17h15)
Nocturne le jeudi jusqu’à 22h00 pour les expositions temporaires et permanentes (dernière entrée 21h15)
Entrée gratuite pour les collections permanentes
En raison des travaux, certaines salles sont fermées

Tarifs

Plein tarif expositions temporaires : de 7 à 13 euros selon les expositions
Tarif réduit de 18 à 26 ans
Gratuit : -18 ans

19- La Conciergerie (2 Boulevard du Palais 75001 Paris)

La vie quotidienne au Moyen Age

Du 23 février 2020 au 28 juin 2020


Famille, découvrez deux lieux exceptionnels du Moyen Âge avec vos enfants
« « Un dimanche médiéval,
Alimentation, plaisir des fêtes, cuisines, suivez le guide à la Conciergerie et découvrez la vie quotidienne dans l’ancien palais des rois capétiens. Partez ensuite à la Tour Jean sans Peur pour découvrir la vie d'un prince à la fin du Moyen Âge (architecture, confort, mobilier sans oublier la mode vestimentaire extravagante de cette époque!).
Après la visite de la tour, parcourez librement l'exposition "A table au Moyen Âge", une exposition qui permet de tout savoir pour organiser un vrai repas médiéval.
Parcours-jeu offert sur la tour et l'exposition A table ! » »

La Conciergerie fait sa révolution
depuis le 14 décembre 2016

"Depuis le 14 décembre, la Conciergerie présente un nouveau parcours révolutionnaire, mêlant des informations sur la Révolution, des dispositifs multimédia et un chantier des collections.
Vous pouvez également découvrir les salles médiévales et révolutionnaires de la Conciergerie ainsi que des espaces aujourd’hui disparus avec l’HistoPad, outil de médiation numérique permettant de remonter le temps grâce à la réalité augmentée, des reconstitutions 3D et des fonctionnalités interactives.
1/ Nouvelle présentation des salles dédiées à la Révolution : maquette interactive, borne reprenant les archives des procès révolutionnaires.
Pédagogiques et sensibles, ces dispositifs de médiation innovants permettent de redécouvrir le monument.
  À travers des photos, des vidéos, des outils numériques innovants, des œuvres, des objets, des maquettes ou encore des textes, ce nouveau parcours vous invite à plonger dans l’histoire de la Révolution française, pour découvrir un autre visage d’un moment fondateur de la modernité et emblématique de Paris.
  Exemple :
Suivez le parcours d'une prisonnière du monument dans son procès face à ses juges, depuis son arrestation jusqu’à son exécution grâce à une maquette animée installée dans le monument.
2/ Un dispositif de réalité augmentée : l’HistoPad.
Interactif et immersif, l’HistoPad vous accompagne tout au long de votre découverte du monument… et même au-delà puisqu’il vous donnera un accès virtuel à des lieux fermés au public."

Horaires

La Conciergerie est ouverte tous les jours de 9h30 à 18h

Tarifs

Plein tarif 9,50 euros
Tarif réduit 7,50 euros
Gratuité moins de 18 ans

20- Musée des Arts Décoratifs (107 Rue de Rivoli 75001 Paris)

Harper’s Bazaar, premier magazine de mode

du 28 février au 14 juillet 2020

« « A l’occasion de la réouverture des galeries de la mode, entièrement rénovées grâce au mécénat de Stephen et Christine Schwarzman, le Musée des Arts Décoratifs présente une grande exposition consacrée au célèbre magazine de mode américain Harper’s Bazaar. Soixante créations de couture et de prêt-à-porter, issues essentiellement des collections du musée, ponctuées de prêts de pièces iconiques prestigieuses sont présentées en correspondance avec leur parution dans ce magazine. Le regard des grands photographes et illustrateurs qui ont fait le renom de Bazaar est ainsi mis en perspective pour résumer un siècle et demi d’histoire de mode. Man Ray, Salvador Dali, Richard Avedon, Andy Warhol, ou encore Peter Lindbergh ont, en effet, contribué à l’esthétique hors pair du magazine. « Harper’s Bazaar, premier magazine de mode » retrace les moments forts de cette revue mythique, son évolution depuis 1867, en rendant hommage aux personnalités qui l’ont façonnée : Carmel Snow, Alexey Brodovitch et Diana Vreeland. Tous trois, à partir des années trente propulsent le magazine dans la modernité de la mode et du graphisme instaurant une exigence qui fait encore école. La scénographie, tout comme la rénovation et l’aménagement des galeries, a été confiée à l’architecte et designer Adrien Gardère. » »



Tarifs

Plein Tarif 14 euros
Billet commun 20 euros (20 + 20 bis)

Horaires

Ouverture du Musée des arts décoratifs du mardi au dimanche de 11h à 18h,
le jeudi : nocturne jusqu’à 21h
Fermeture les lundis, ainsi que le 25 décembre, 1er janvier, 1er mai

20 bis – Musée Nissim de Camondo (63, rue de Monceau 75008 Paris)



Le 61 rue de Monceau, l’autre hôtel Camondo

du 17 octobre 2019 au 28 juin 2020



« « Partis de Constantinople et installés à Paris en 1869, le comte Abraham-Béhor de Camondo (1829-1889) et son frère Nissim (1830-1889) choisissent de s’établir avec leur famille en bordure du parc Monceau. La périphérie sud du parc fait alors l’objet d’une opération de lotissement par les frères Pereire afin d’y élever des hôtels particuliers de prestige. En juin 1870, ils acquièrent deux terrains mitoyens au 61 et 63 rue de Monceau. L’exposition dévoile une sélection de documents et d’acquisitions récentes qui renseignent de façon détaillée sur l’architecture, la décoration, l’ameublement et les collections d’œuvres d’art de cette demeure d’exception que le comte Abraham-Béhor fait construire en 1875 par l’architecte Denis-Louis Destors (1816-1882) au 61, rue de Monceau et dont l’intérieur est entièrement détruit dans les années soixante-dix.
Outre des photographies de l’hôtel en 1875, des plans et élévations publiés par Le Moniteur en 1880, des inventaires et catalogues de ventes liés à la succession d’Abraham-Béhor de Camondo en 1893, puis à celle de son épouse Régina en 1905, c’est aussi l’occasion pour le public de découvrir des œuvres majeures et pour la plupart inédites. Parmi les plus emblématiques, citons des panneaux de laque provenant du boudoir chinois, deux dessins aquarellés réalisés par Denis-Louis Destors pour le concours d’architecture de l’Académie des Beaux-Arts en 1876, un écran de cheminée et deux chaises ayant appartenu à la comtesse Régina ainsi qu’une livrée de domestique en panne de velours rouge. » »



Tarifs

Plein Tarif 12 euros
Billet commun 20 euros (20 + 20 bis)

Horaires

Ouverture du Musée Nissim de Cassondo
du mardi au dimanche de 10h à 17h30
fermé le lundi et le mardi, ainsi que le 25 décembre, 1er janvier, 1er mai chaque année.

21- Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme (71 Rue du Temple 75003 Paris )

Rosine Cahen. Dessins de la Grande Guerre



du jeudi 17 octobre 2019 jusqu'au dimanche 19 avril 2020



« « Rosine Cahen (1857-1933), née à Delme aujourd’hui en Moselle, arrive à Paris après que sa famille a opté pour la nationalité française, comme 25 % des juifs des territoires annexés par l’Allemagne en 1871.
Elle y étudie les arts à l’académie Julian, promotion remarquable pour une jeune fille d’un milieu aussi modeste – son père boulanger, puis boucher, devait subvenir aux besoins de six autres enfants.
À partir de 1884, elle expose régulièrement au Salon des artistes français et reçoit plusieurs récompenses, dont une médaille d’or en 1921. Professeur de dessin à l’école Gustave de Rothschild, elle gagne aussi sa vie en réalisant des gravures, notamment des lithographies d’œuvres de Jules Adler.
Entre 1916 et 1919, elle visite plusieurs hôpitaux militaires et exécute le portrait de grands blessés de guerre au pastel et au fusain. Cet ensemble de dessins d’une grande sensibilité, où l’artiste, dépassant l’horreur des blessures, s’attache à saisir l’expression des soldats convalescents, est ici présenté pour la première fois en France, faisant écho au travail de Jules Adler pendant la Première Guerre mondiale. » »

Horaires

jusqu'au 1er avril 2020
Du mardi au vendredi : 11h-18h
Samedi et dimanche : 10h-18h

du 2 avril au 10 juillet 2020
Mardi, jeudi, vendredi : 11h-18h
Mercredi : 11h-21h
Samedi et dimanche : 10h-19h

du 14 juillet au 7 octobre 2020
Le Musée est fermé le lundi

Tarifs


Plein tarif : 10 €
Tarif réduit : 7 € (familles nombreuses, Amis du Louvre, 18-25 ans hors Union européenne)
Tarif exposition réservé aux 18-25 ans résidents dans l’Union européenne : 5 €
Gratuit pour les moins de 18 ans

22- Hôtel de Ville de Paris ( Place de l'Hôtel de ville 75004 Paris )

Pas d'expositions

Ouvert tous les jours sauf dimanche et jours fériés
de 10h à 18h30

Gratuit





23- Musée Eugène Delacroix (6 Rue de Furstenberg 75006 Paris)

Découvrez les collections du musée

Hiver 2019-2020

« Le musée national Eugène-Delacroix vous invite à redécouvrir ses collections permanentes tout au long de l’hiver. Dans le dernier appartement et atelier d’Eugène Delacroix, retrouvez les œuvres emblématiques du peintre comme la Madeleine au désert, qui inspira Baudelaire, L’Éducation de la Vierge, Roméo et Juliette ou la fresque Bacchus et un tigre.
Découvrez également des œuvres moins connues, des esquisses et tableaux achevés, des dessins réalisés grâce à différentes techniques… permettant de mieux connaître les différents aspects du talent de l’artiste et de porter un regard différent sur son travail de création, au-delà de ses chefs-d’œuvre.
L’entourage de Delacroix est également évoqué dans les salles du musée par des portraits croisés et échangés entre l’artiste et le peintre Thalès Fielding ou les copies de La Mort de Sardanapale réalisées par des amis de Delacroix. »

Horaires

Ouverture du musée du mercredi au lundi, de 9h30 à 17h30
Nocturne jusqu’à 21h chaque premier jeudi du mois
Fermé les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre



Tarifs

Billet d’entrée au musée Delacroix : 7 €
Gratuité pour les moins de 26 ans

Billet jumelé Louvre - Delacroix valable toute la journée pour la visite de l’exposition du musée Delacroix et des collections du musée du Louvre : 15 €





24- Institut du Monde Arabe ( 1 Rue des Fossés Saint-Bernard  75005 Paris)

+++ Hommage d’artistes à Notre-Dame - 2e volet

Du 14 janvier 2020 au 19 avril 2020

« « A l’occasion des 36e Journées européennes du patrimoine, le musée de l’Institut du monde arabe dévoile son premier « Hommage d’artistes à Notre-Dame », exposition des œuvres des premiers artistes à avoir répondu à l’appel : la Franco-Marocaine Najia Mehadji, le Marocain de Montpellier Mohamed Lekleti, le Syrien de Hambourg Boutros Al-Maari et l’Irakien de Londres Dia Al-Azzawi. Cette exposition sera suivie d’autres accrochages. Ainsi, au fil des saisons, sera constituée une collection d’œuvres en hommage à Notre-Dame, par des artistes du monde arabe et des diasporas sensibles à cette thématique et totalement libres de leur expression et de leurs moyens - cette même liberté qui avait guidé Claude et France Lemand dans la constitution de la collection Tondo d’Orient et d’Occident ou du 3e volet du Portrait de l’Oiseau-Qui-N’Existe-Pas. » »

« « En avril 2019, bouleversés par l’incendie qui venait de ravager la cathédrale Notre-Dame de Paris, les collectionneurs Claude et France Lemand ont demandé à des artistes de leur fonds d’apporter leur témoignage en réponse à ce drame. Leur projet : constituer une collection d’œuvres en hommage à Notre-Dame, par des créateurs du monde arabe et des diasporas sensibles à cette thématique et totalement libres de leur expression et de leurs moyens. Cette collection est exposée par volets au musée de l’Institut du monde arabe, au fil de la réception des œuvres. Après une première série présentée à l’occasion des Journées européennes du patrimoine 2019 (incluant les œuvres de Najia Mehadji, Mohamed Leketi, Boutros Al-Maari et Dia Al-Azzawi), l’IMA vient de procéder à un nouvel accrochage. On retrouve dans la nouvelle moisson, signée Manabu Kochi (Japon, 1954), Hani Zurob (Palestine, 1976), Hussein Taï (Iraq, 1966), Khaled Takreti (Syrie, 1964) et Nasser Al-Aswadi (Yémen, 1978), un même vent d’universalisme et de liberté – celui que fait depuis toujours souffler la collection Lemand. » »



+++ Les collections vivantes de l'IMA | Mémoires partagées Un choix de photos et vidéos du monde arabe dans la Donation Claude & France Lemand

du 18 mars 2020 au 17 mai 2020

« « En 2018, les collectionneurs Claude et France Lemand ont fait don au musée de l'Institut du monde arabe d'une exceptionnelle collection d'art moderne et contemporain. Courant 2019, la donation initiale s'est étoffée de photographies et de vidéos d'artistes, que ce nouvel accrochage propose de découvrir jusqu'au 17 mai prochain. » »

« « Depuis sa concrétisation il y a deux ans, la donation initiale de Claude et France Lemand au musée de l’IMA s’est étoffée de photographies et de vidéos d’artistes ; une démarche allant de soi pour les donateurs, tant ces deux supports d’expression ont généré d’œuvres au plein sens du terme. Tantôt nostalgiques, tantôt lourdes des drames et des inquiétudes du monde arabe d’aujourd’hui, les voici ici réunies. « « La construction des histoires nationales s’avère souvent sélective et n’inculque dans la mémoire collective qu’une part du vécu des générations passées. Il appartient davantage aux artistes – écrivains et poètes, musiciens et interprètes, plasticiens… – de donner en partage des souvenirs tout en émotions, même si leurs œuvres sont intimement liées à des événements étrangers à la mémoire de celles et ceux qui les lisent, les écoutent, les regardent. La photographie avait contribué à construire, à partir des années 1880, des images souvent fantasmées du Maghreb, du Proche et du Moyen-Orient. Au cours des trois dernières décennies, de nombreux artistes du monde arabe se la sont appropriée – d’autres adoptaient la vidéo – afin de déconstruire ces clichés et bâtir une vision personnelle. Si certains cultivent la nostalgie, d’autres témoignent des conséquences individuelles des conflits et des crises qui jalonnent l’histoire du monde arabe contemporain. La conscience de perdre ce que la modernisation prétend remplacer, la contrainte d’un exil proche ou lointain, la réparation des oublis de l’histoire officielle et l’incertitude de ce que sera l’avenir face à l’ampleur des destructions, nourrissent le travail des artistes exposés. » »

+++ Les collections vivantes de l'IMA | Couleurs du monde Collection du Musée d’art moderne et contemporain de la Palestine

du 18 mars 2020 au 17 mai 2020

L'IMA abrite depuis 2016 la collection du futur Musée national d'art moderne et contemporain de la Palestine : une « collection solidaire », constituée de dons d'artistes, conçue par l'ambassadeur de Palestine auprès de l'Unesco Elias Sanbar. L'IMA en a déjà présenté des pans en 2017 et 2018. Pour ce nouvel accrochage, carte blanche à l'écrivain Laurent Gaudé, prix Goncourt 2014, Prix du livre européen et Grand prix du romain métis 2019.

+++ Divas arabes D'Oum Kalthoum à Dalida

du 6 mai 2020 au 6 septembre 2020

« « Un fabuleux voyage au cœur de l’âge d’or de la musique et du cinéma arabes, à travers les portraits de ses plus grandes icônes… Reconstitutions de décors, objets personnels, tenues, bijoux, mobilier, œuvres contemporaines, installations, projections : en visitant l’exposition « Divas arabes », vivez une expérience interactive et immersive ! » »

Tarifs

8 € 6 € 4 €
Tarifs  aux caisses de l'IMA,
Tarif réduit 8 € : Demandeurs d'emplois, groupe d'amis à partir de 6 personnes
Tarif réduit 6 € : jeunes de moins de 26 ans, non ressortissants de l'UE

Horaires

Ouvert du mardi au jeudi de 10h à 18h
samedi, dimanche et jours fériés 10h-19h

25 - Cité de la Musique (221 Avenue Jean Jaurès  75019 Paris)

Le patrimoine historique du Musée s’étend du XVIe siècle à nos jours et témoigne de la richesse de l’invention musicale dans toutes les cultures du monde. La relation entre musique, instruments et objets d’art est renforcée par des expositions temporaires qui tissent des liens avec les autres arts et de grandes questions historiques.
Une collection unique au monde
Le Musée de la musique rassemble au sein de la Philharmonie de Paris une collection de plus de 7 000 instruments et objets d’art. Près de 1 000 en sont présentés dans l’espace d’exposition permanente, dont des trésors nationaux ou des instruments mythiques comme un piano de Chopin ou une guitare de Brassens, permettant de relater l'histoire de la musique occidentale du XVIe siècle à nos jours et de donner un aperçu des principales cultures musicales de par le monde.
Des expositions temporaires explorant la musique sous toutes ses formes
L’originalité du Musée de la musique est de proposer, en plus de la collection permanente, des expositions temporaires sur des thématiques favorisant le croisement des disciplines artistiques des problématiques culturelles et des zones géographiques. Visites guidées, colloques ou concerts donnés sur les instruments des collections enrichissent ou prolongent la visite, et prennent place au sein des grands thèmes qui rythment la vie de la Philharmonie.




Visite libre

Horaires

du mardi au vendredi de 12h à 18h
le samedi et le dimanche de 10h à 18h

26- Musée Carnavalet (23, rue de Sévigné - 75003 Paris)

fermé pour rénovation





27- Cité des Sciences et de l'Industrie (Cité des sciences et de l'industrie - 30, avenue Corentin-Cariou - 75019 Paris.)




+++ Contraires

Du 18 février 2020 au 3 janvier 2021

« « Grand/petit, rapide/lent, aigu/grave, clair/foncé … l'exposition Contraires invite les petits curieux de 2 à 7 ans à explorer le monde des contrastes et des opposés.
Au fil d'une déambulation sensorielle et ludique, les enfants expérimentent les couples de contraires dans un village insolite qui fourmille d'éléments inattendus. A eux d'arpenter librement la rue, l'épicerie, la maison, le parc et l'école pour découvrir les contrastes et les nuances à travers jeux, manipulations, films et activités interactives !
Une exposition teintée d'humour et de poésie, qui mobilise le corps et l'esprit pour permettre aux enfants de ressentir ces notions essentielles à leur développement et à leur compréhension du monde. » »

+++ Espions

Du 15 octobre 2019 au 9 août 2020

« Un essai nucléaire de faible intensité vient d'être détecté en République Occidentale, pays placé sous surveillance dans le cadre de la lutte contre la prolifération nucléaire. C'est à vous, visiteur, d'endosser le rôle d'agent de renseignement et de participer à la collecte des informations qui permettront de rédiger la note destinée au chef de l’État !
Guidé par les nombreux protagonistes de la fiction qui tient lieu de fil rouge à l'exposition, vous passerez de service en service et découvrirez l'organisation, les techniques et les métiers du monde singulier du renseignement, dont la discrétion est une seconde nature.
Inspirée du Bureau des Légendes dont elle reproduit certains décors, et conçue en partenariat avec les principaux acteurs du renseignement français,  l'exposition Espions propose une expérience de visite immersive en trois parties : après une introduction présentant l'univers du renseignement français et une fois reçu le brief général de la mission, vous passerez à l'action en expérimentant de nombreux dispositifs interactifs propres à la réalité du travail des agents du renseignement. L'exposition s'achève avec l'analyse des données recueillies, dans une salle de crise identique à celle du Bureau des légendes, et par un focus sur six "affaires" contemporaines dans lesquelles les services de renseignement français et étrangers ont eu une action décisive. »

+++ Robots, l'exposition

Exposition permanente

Pour s'adapter à leur environnement, les robots doivent pouvoir capter, se déplacer, manipuler, communiquer. Cette capacité d'autonomie en fait des machines extraordinaires.
  Qu'est-ce qu'un robot exactement ? Comment fonctionne cette machine si fascinante ? À quoi peut servir un robot ? Les robots vont-ils modifier notre quotidien ? Sommes-nous prêts à les accepter ?
La nouvelle exposition permanente "Robots", découpée en six grands moments muséographiques, vous permettra de saisir les enjeux de la robotique contemporaine, d'interagir avec de véritables robots et d'aborder les grandes questions liées à leur arrivée dans notre vie quotidienne.
Robot, pas robot ?
Familiarisez-vous avec la notion de robot et découvrez les caractéristiques techniques qui distinguent une simple machine d’un véritable robot. Un objet très quotidien comme une porte d’ascenseur, capable grâce à ses capteurs de ne pas se refermer intempestivement, est par exemple un robot. Saurez-vous distinguer ce qui est un robot de ce qui ne l'est pas ?
Dessine moi un robot
Dotés de caméras, gyroscopes et autres capteurs, les robots peuvent s'adapter à leur environnement. Des algorithmes traitent les informations qu'ils perçoivent, prennent des décisions et envoient des consignes à leurs moteurs. En réponse à ce qui l'entoure, un robot peut ainsi effectuer des mouvements et exécuter des tâches. Cette capacité le distingue des autres machines.
Dans cette partie de l'exposition, apprenez comment fonctionne un robot et découvrez à quel point, au fil des années, les robots gagnent en autonomie.
Au labo les robots
Découvrez comment travaillent les roboticiennes et roboticiens pour trouver des méthodes aidant les robots à accomplir leurs tâches. Que ce soit pour remplacer ou assister l’homme dans des tâches pénibles, s’adapter à lui pour mieux le servir, explorer des mondes inaccessibles... Et si vous pensez qu’il est simple de faire marcher un robot sur deux jambes, détrompez-vous !
  Vivre avec les robots
Les progrès en robotique sont fascinants mais parfois déconcertants, voire inquiétants. On peut noter des améliorations dans le domaine industriel, en chirurgie, dans les domaines de l'automobile, de l'aviation, du service à la personne... Ces évolutions ouvrent de grandes perspectives de collaboration entre robots et humains.
Au-delà des rêveries utopiques ou des peurs irrationnelles, cette partie de l'exposition s'attache à démystifier les robots et aide à mieux les comprendre pour les utiliser à bon escient.
Le salon robotique
En conclusion de l'exposition, vous êtes invité·e·s à vous questionner sur votre propre rapport aux robots. Quelles représentations en avez-vous, quel est votre degré d'acceptation de ces machines d'exception ?
Vous pourrez également explorer la robotique de façon plus large : découvrir des pratiques amateurs, vous intéresser à ses actualités et à ses métiers.
Trobo, installation artistique
Œuvre d'Aurélien Bory, chorégraphe et plasticien
Au cœur de l'exposition, deux robots tentent de mettre dans l’ordre de grandes lettres composant le mot ROBOT, sans jamais y parvenir. Au fil de la pièce, les deux robots collaborent ou au contraire s’opposent. Tantôt impressionnantes, tantôt burlesques, leurs actions dessinent une danse où, à la grande précision des machines, s’opposent l’imperfection et le non-sens..."

Horaires

ouvert du mardi au samedi de 10h à 18h
le dimanche de 10h à 19h
Fermé le lundi, le 1er janvier, le 1er mai, le 25 décembre

Tarifs

Plein Tarif 12 euros
Tarif réduit 9 euros
A partir de 2 ans

28 - Fondation Vuitton (8 avenue du Mahatma Gabdhi, Bois de Boulogne, 75116 Paris)




Open Space #7 Jean Claracq



Du 7 mars au 31 mai 2020

« « Open Space est un programme dédié à la création dans ses expressions les plus actuelles. Des artistes nationaux et internationaux sont invités à imaginer un projet spécifique. Nomade dans le bâtiment de Frank Gehry, Open Space se déroule selon un rythme régulier.
Jean Claracq entretient depuis l’enfance une fascination pour l’histoire de l’art dans laquelle il continue de puiser son inspiration de l’enluminure médiévale à la photographie en passant par la peinture de la Renaissance.
Privilégiant le format miniature, ses peintures procèdent d’un collage numérique dans lequel se mêlent des sources variées. Malgré les limites imposées par le format, ses œuvres foisonnent d’une multitude de détails et offrent des récits multiples où se croisent différentes temporalités et espaces selon une iconographie très contemporaine.
Inspiré par la tradition des scènes de genre, Jean Claracq met en scène des personnages masculins, jeunes, absorbés dans des mondes virtuels, isolés dans des espaces intérieurs ou extérieurs offrant différents points de vue sur la ville périphérique et ses bâtiments mais aussi sur le paysage urbain ou naturel.
A l’occasion de sa première exposition personnelle, il conçoit Propaganda cinq œuvres inédites enchâssées dans un dispositif de maquette architecturale conviant le visiteur à tourner autour des peintures. » »

Tarifs :

Plein tarif 16 euros
Moins de 26 ans 9 euros
Moins de 18 ans 4 euros
Moins de 3 ans gratuit
Offre famille 20 euros
Navette Paris 2 euros un aller retour toutes les 20 mns



Horaires hors vacances scolaires

Lundi 11h-20h
Mardi fermé
Mercredi, Jeudi 11h-20h
Vendredi jusqu'à 21 h
Vendredi jusqu'à 23h les soirs de nocturne
Samedi Dimanche 10h-20h

Horaires vacances scolaires

Lundi mardi mercredi jeudi samedi dimanche10h 20h
Vendredi 10h 21h (23h les soirs de nocturne)

29 - Musée Montmartre (12 rue Cortot - 75018 Paris 18e)

Otto Freundlich (1878-1943), La révélation de l'abstraction

Du 28 février au 6 septembre 2020

« « Otto Freundlich (1878-1943) est l'un des premiers grands créateurs de l’art non-figuratif. Le peintre et sculpteur allemand est engagé dans le combat politique ainsi que dans la lutte pour un art nouveau. La parcours d'exposition réunit près de 80 œuvres (sculptures, peintures, vitraux, mosaïques, œuvres graphiques) auxquelles viennent s'ajouter un ensemble inédit de documents, d'écrits et de lettres d’artistes amis. » »

À propos du lieu

Les très anciennes maisons entourées de jardins qui constituent le Musée de Montmartre furent le lieu de résidence de nombreux artistes tels qu’Auguste Renoir, Émile Bernard, Raoul Dufy, Suzanne Valadon ou Maurice Utrillo.
Créé en 1960, le lieu abrite une collection unique de peintures, d'affiches et de dessins qui vous imprégnera du passé de la Butte, de l’effervescence artistique de ses ateliers, du Bateau-Lavoir à l’atelier Cortot, et de l’ambiance de ses célèbres cabarets, du Chat noir au Moulin Rouge.
Si la Maison du Bel Air, abritant les collections permanentes, et la salle Charpentier, centrée sur le Montmartre des XIXe et XXe siècles, retracent l'histoire de ce quartier emblématique de la capitale, l'atelier-appartement de Suzanne Valadon reconstitué en restitue l'âme. Le modèle préféré de Renoir, restée célèbre pour avoir été l’une des premières femmes peintres, y habitat de 1912 à 1926, avec son compagnon André Utter et son fils Maurice Utrillo. Ce dernier a pour sa part laissé d'inoubliables vues de Montmartre.
L'Hôtel de Marne se fait quant à lui le lieu d'accueil des expositions temporaires qui ponctuent et enrichissent encore la richesse culturelle du lieu.
Aux abords du musée, les Jardins Renoir ont été pensés en souvenir du peintre impressionniste Auguste Renoir, qui vécut ici entre 1875 et 1877. Pendant son séjour, il peignit plusieurs chefs-d’œuvres dont Le Bal du moulin de la Galette et La Balançoire. Les jardins offrent également une vue exceptionnelle sur les vignes du Clos Montmartre.

Horaires :

Tous les jours 10h-19h ou 18h (d'Octobre à Mars),
Jeudi jusqu'à 22h (uniquement juillet et août)

Tarifs :

Plein : 13 euros
Hors expo : 12 euros
18/25 ans : 10 euros
10/17 ans : 7 euros
moins de 10 ans : gratuit