1- Petit Palais (Musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris, Avenue Winston Churchill - 75008 Paris )

++ Les animaux font le mur

du 20 septembre 2014 au 4 Janvier 2015

« La Grande Galerie de l’Évolution fête ses 20 ans et s’invite au Petit Palais
Frères de berceau, séparés au fil des siècles par la raison scientifique, musée et muséum se retrouvent avec « Les animaux font le mur ! » organisée par le Muséum national d’Histoire naturelle pour célébrer  les vingt ans de la Grande Galerie de l’Évolution. Au Petit Palais, singes et oiseaux de toutes espèces prennent la pose. Prêtés exceptionnellement par le Muséum une dizaine de spécimens historiques font écho à certains chefs-d’œuvre présentés dans les collections des XVIIIe et XIXe siècles.
Dans la galerie Nord, un singe en pleine acrobatie nargue son voisin tenu en laisse par l’étrange Dame au singe du sculpteur Camille Alaphilippe.
Les animaux s’en donnent à cœur joie sous les lambris sculptés des salles du XVIIIe siècle. Près d’une pendule aux singes musiciens, des cercopithèques se sont installés sur les dessus de commode. Un paon, un kakatoès, une grue et un oiseau à spatule semblent tout droit sorti de L’Air, une tapisserie, exposée pour l’occasion, issue de la Tenture des Eléments conçue par Charles Lebrun sous Louis XIV.
Enfin salle 8, un aigle aux ailes déployées marque le passage dans l’univers de la ménagerie, celui des fauves et des rapaces. Peut-être a-t-il servi de modèle à l’un des artistes animaliers présentés dans cette dernière salle du parcours, comme Antoine-Louis Barye, Emmanuel Frémiet ou Rembrandt Bugatti, qui tous sont venus au muséum dessiner « sur le vif ». »

++ De Ingres à Polke

7 chefs-d’œuvre du Musée des Beaux Arts de Nantes

du 1er Octobre 2014 au 11 Janvier 2015

« Changement de décor :
Après avoir accueilli les tableaux d’Hubert Robert du musée de Valence, le Petit Palais poursuit ses invitations auprès des grands musées de région afin de faire dialoguer leurs chefs d’œuvre avec ceux du musée des Beaux-Arts de la Ville de Paris. Cette année, le grand invité est le musée des Beaux-Arts de Nantes fermé pour rénovation jusqu'à la fin de l'année 2016. Sa collection d’une grande richesse offre un panorama complet de la peinture occidentale du XIIIe au XXIe siècle. Grâce à la générosité du musée de Nantes, ce nouveau Changement de décor met l’accent sur les maîtres du XIXe siècle français. Sept tableaux majeurs viennent ainsi s’inscrire de manière inédite dans le parcours des collections permanentes du Petit Palais: Ingres, Tissot, Corot, Vernet, Delaroche et Gérôme en regard d'un portrait par Polke (salles 23-24) »

++ Baccarat, la légende du cristal

du 15 Octobre 2014 au 4 Janvier 2015

À l’occasion du 250e anniversaire de Baccarat, le Petit Palais expose dans ses Grandes Galeries les chefs d’œuvre de la plus illustre manufacture de cristal au monde, étonnants témoignages de la virtuosité de ses artisans.




Le Petit Palais est ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h (fermeture des caisses à 17h00 et fermeture des salles à partir de 17h45)
Fermé le lundi et les jours fériés Le café du musée ferme ses portes à 17h00.
Nocturnes le jeudi jusqu’à 20h uniquement pour les expositions temporaires.



Accès gratuit pour les expositions permanentes
Le plein tarif est compris entre 5 et 12 euros, et entre 3.5 et 9 euros pour le tarif réduit. Les billets combinés donnant accès à plusieurs expositions ayant lieu concomitamment dans un musée sont compris entre 9 et 15 euros en plein tarif, et entre 6 et 10 euros en tarif réduit.

2- Grand Palais (3, avenue du Général Eisenhower 75008 Paris )

++ Niki de Saint Phalle

du 17 Septembre 2014 au 02 Février 2015

Niki de Saint Phalle (1930-2002) est l’une des artistes les plus populaires du milieu du XXe siècle, à la fois plasticienne, peintre, sculptrice et réalisatrice de films. Si elle est surtout connue du grand public pour ses célèbres « Nanas », son œuvre s’impose aussi par son engagement politique et féministe et par sa radicalité. Le Grand Palais propose la plus grande exposition consacrée à l’artiste depuis vingt ans et un nouveau regard porté sur son travail.

++ Katsushika Hokusai



du 01 Octobre 2014 au 18 Janvier 2015

Relâche du 21 au 30 novembre 2014

Katsushika Hokusai (1760-1849) est aujourd’hui l’artiste japonais le plus célèbre à travers le monde. Son œuvre peint, dessiné et gravé incarne la spiritualité et l’âme de son pays, particulièrement ses estampes de paysages, synthèse remarquable entre les principes traditionnels de l’art japonais et les influences occidentales.
Conçue en deux volets, l’exposition présente 500 œuvres exceptionnelles, dont une grande partie ne quittera plus le Japon à compter de l’ouverture du musée Hokusai, à Tokyo en 2016

Le Grand Palais est ouvert tous les jours de 10h à 22h (fermeture à 20h le dimanche et lundi)
Fermeture hebdomadaire le mardi
Tarifs
Plein : 13 €
Réduit : 9 €
Gratuit pour les moins de 16 ans

3- Centre Pompidou (19 Rue Beaubourg 75004 Paris )

++ « Marcel Duchamp. La peinture, même »



du 24 septembre 2014 au 5 janvier 2015



Une lecture renouvelée de l'œuvre peinte de Marcel Duchamp, l'une des figures les plus emblématiques de l’art du 20ème siècle.




de 11h00 à 21h00
Galerie 2 - Centre Pompidou, Paris
PT : 13€, TR : 10€ / Forfait donnant accès à toutes les expositions temporaires et aux collections permanentes du musée

++ Frank Gehry



du 8 octobre 2014 au 26 janvier 2015

Les lignes de force de la carrière de l'une des figures majeures de l'architecture contemporaine.



de 11h00 à 21h00
Galerie sud - Centre Pompidou, Paris
13€, TR 10€ / Forfait donnant accès à toutes les expositions temporaires et aux collections permanentes du musée

++Robert Delaunay - Rythmes sans fin



du 15 octobre 2014 au 12 janvier 2015

« Rythmes sans fin » explore la surprenante production de Robert Delaunay dans les années 1920-1930. de 11h00 à 21h00
Musée - Niveau 4 - Galerie du Musée - Centre Pompidou, Paris
13€, TR 10€ / Forfait donnant accès à toutes les expositions temporaires et aux collections permanentes du musée

++ Jacques-André Boiffard, la parenthèse surréaliste



du 5 novembre 2014 au 2 février 2015



de 11h00 à 21h00



Galerie de photographies - Centre Pompidou, Paris
Jacques-André Boiffard est le dernier grand photographe surréaliste qui n'ait encore jamais fait l'objet d'une exposition rétrospective. Pour l'ouverture de sa nouvelle galerie de photographies, le Centre Pompidou expose pour la première fois une sélection de soixante-dix de ses photographies.
accès libre

++ Une histoire, art, architecture et design, des années 80 à aujourd'hui



du 2 juillet 2014 au 7 mars 2016



de 11h00 à 21h00



Musée - Niveau 4 - Centre Pompidou, Paris
« Une histoire. Art, architecture et design des années 1980 à nos jours »,
Plus de quatre cents œuvres, des clefs de lecture sur la création la plus contemporaine.
13€, TR 10€ / Forfait donnant accès à toutes les expositions temporaires et aux collections permanentes du musée

4- Fondation Cartier (261 bvd Raspail 75014 Paris)

Pour célébrer son trentième anniversaire, la Fondation Cartier pour l’art contemporain présente, du 25 octobre 2014 au 22 février 2015, deux expositions exceptionnelles.



++ Musings on a Glass Box (Ballade pour une boîte de verre)

Diller Scofidio + Renfro
En collaboration avec David Lang et Jody Elff

« Pour la première fois dans l’histoire de la Fondation Cartier, le bâtiment créé par Jean Nouvel est la matière première d’un projet artistique. Déployée sur tout le rez-de-chaussée de la Fondation Cartier, Musings on a Glass Box est une installation complexe reposant sur le déclenchement, par une simple perturbation dans le plafond, d’une série de réactions surprenantes.
L’environnement immersif qui en résulte, qui inclut une partition sonore créée par le compositeur David Lang et le designer sonore Jody Elff jouent un rôle à part entière, instaure un dialogue avec l’architecture du bâtiment, joue avec les notions de transparence et de perception, et questionne notre relation à l’espace. »

++ Les Habitants

Une idée de Guillermo Kuitca

Avec Tarsila Do Amaral, Francis Bacon, Vija Celmins, Guillermo Kuitca, David Lynch, Artavazd Pelechian, Patti Smith « Empruntant son titre au film du cinéaste arménien Artavazd Pelechian, Les Habitants propose une immersion au sein d’un espace pictural et sonore dans lequel Guillermo Kuitca met en scène un réseau de relations entre son œuvre et celles de Tarsila do Amaral, Francis Bacon, Vija Celmins, David Lynch, Artavazd Pelechian et Patti Smith. Avec cette exposition, Guillermo Kuitca offre un éclairage personnel sur l’histoire de la Fondation Cartier et la manière dont elle a, au fil des années, tissé des liens entre les artistes et les œuvres, créé des rencontres, inventé des ricochets d’un projet à l’autre.
C’est le living room, installation en 3D que David Lynch crée à partir d’un petit dessin pour son exposition The Air is on Fire en 2007 à la Fondation Cartier, qui donne à Guillermo Kuitca l’idée de ce projet. Pour ce dernier, dont l’œuvre est nourrie de références à l’espace théâtral, l’exposition The Air is on Fire aura été une expérience sensible déterminante. »

5- Musée Jacquemard-André (158 boulevard Haussmann 75008 Paris )

Le Pérugin, Maître de Raphaël



Du 12 septembre 2014 au 19 janvier 2015



Le Musée Jacquemart-André propose de redécouvrir Le Pérugin, grand maître de la Renaissance italienne. Connu pour son influence sur le jeune Raphaël, il est avant tout un peintre novateur dont la fortune, très importante dans toute l’Italie au début du XVIe siècle, aura un écho particulier en France jusqu’à l’époque contemporaine.
Le Musée Jacquemart-André est ouvert tous les jours y compris les jours fériés de 10h à 18h. Nocturnes les lundis et samedis jusqu’à 20h30 en période d’exposition.
  PT 12 euros
TR 10 euros
Gratuit pour les moins de 7 ans

6- Musée Maillol (61 Rue de Grenelle 75007 Paris )



++ Les Borgia et leur temps
De Léonard de Vinci à Michel-Ange

du 17 septembre 2014 au 15 février 2015



Dans l’imaginaire collectif, les Borgia représentent l’incarnation des vices les plus abominables. Ils exprimeraient ainsi tous les excès d’une société de la Renaissance interprétée dans un sens entièrement négatif.
L’exposition propose de pénétrer au cœur de cette famille qui a marqué la seconde moitié du XVe siècle en Italie et en Europe, afin de révéler leur véritable visage et de restituer leur environnement qui voyait le monde se transformer avec la découverte de l’Amérique, l’invention de l’imprimerie, la Réforme engagée par Luther et l’épanouissement d’une scène artistique sans précédent.

++ DAVID KAKABADZÉ – PASSAGES



du 17 septembre 2014 au 15 février 2015

Exposition rétrospective organisée à l’occasion du 125e anniversaire de l’artiste, dans le cadre du programme de rapprochement entre la Géorgie et l’Union Européenne, avec le soutien du Ministère de la Culture et de la compagnie de télécommunications Silknet.
David Kakabadzé (1889-1952), est un artiste avant-gardiste géorgien, peintre, dessinateur, décorateur de théâtre et de cinéma, théoricien de l’art et inventeur. Il est l’un des premiers peintres géorgiens qui contribua au rapprochement de l’art géorgien avec le mouvement moderniste international.

Horaires d'ouverture de 10h30 à 19h00.
Nocturne le vendredi jusqu'à 21h30
Prix d'entrée : 13 €
Gratuit pour les moins de 11 ans

7- Musée d'Orsay (1 rue de la Légion d'Honneur 75007 Paris)

Sade. Attaquer le soleil

Du 14 octobre 2014 au 25 janvier 2015



Donatien Alphonse François de Sade (1740-1814) a bouleversé l'histoire de la littérature comme celle des arts, de manière clandestine d'abord puis en devenant un véritable mythe.
L'oeuvre du "Divin Marquis" remet en cause de manière radicale les questions de limite, proportion, débordement, les notions de beauté, de laideur, de sublime et l'image du corps. Il débarrasse de manière radicale le regard de tous ses présupposés religieux, idéologiques, moraux, sociaux.

Ouverture de 9h30 à 18h
le mardi, le mercredi, le vendredi, le samedi et le dimanche
de 9h30 à 21h45 le jeudi

Plein tarif 11 euros
Tarif réduit 8,50 euros
Gratuit pour les moins de dix huit ans
Couplage Musée d'Orsay/Musée de l'Orangerie 16 euros
Couplage Musée d'Orsay/ Musée Rodin 15 euros

8- Musée du Quai Branly (37 Quai Branly 75007 Paris )

Mayas, Révélation d'un temps sans fin

du mardi 7 octobre 2014 au dimanche 8 février 2015

« Les Mayas de l’époque préhispanique, créateurs d’une civilisation fascinante, ont laissé à la postérité des dizaines de cités révélant une architecture remarquable, une sculpture d’une grande perfection technique, de nombreuses fresques, des constructions, des vases de céramique et un registre détaillé de leurs croyances religieuses, de leurs rituels, de leur vie en communauté, de leurs habitudes et de leur histoire.
Cette exposition permet d’apprécier le legs des Mayas à l’humanité. Suivant un ordre thématique – le rapport à la nature, le pouvoir des cités, les rites funéraires -, elle donne à voir les divers aspects de cette culture ainsi que son génie créatif.
L’exposition cherche à la fois à dresser un panorama général et à montrer la variété des styles et les réussites esthétiques des différents groupes mayas, chacun d’eux avec sa propre langue et sa propre expressivité. »

Tarifs
expositions permanentes PT : 9 euros TR : 7 euros
expositions temporaires PT : 9 euros TR : 7 euros
Billets jumelés PT : 11 euros TR : 9 euros

Horaires :
mardi, mercredi et dimanche de 11h à 19h
jeudi, vendredi et samedi de 11h à 21h

9- Musée de la Vie Romantique ( 16 Rue Chaptal 75009 Paris )

Charles Nodier et les Voyages pittoresques
La Fabrique du romantisme

du 11 octobre 2014 au 18 janvier 2015

« Parrain du monde des arts et des lettres, Charles Nodier (1780-1844) est l’une des figures majeures du Romantisme.
Essayiste et romancier, il porte le renouveau artistique et littéraire des années 1820-1830 à travers son Salon de la Bibliothèque de l’Arsenal qui devient, à partir de 1824, le lieu d’accueil et de rencontres de la jeune garde des peintres et des écrivains. Lieu d’échange, de création et de mondanités, il constituait une étape incontournable du parcours initiatique des romantiques. Cette communauté intellectuelle réunit Dumas, Vigny, David d’Angers, Devéria, Delacroix ou Boulanger et constitue dès son origine, le cercle d’émulation où s’élabore le Romantisme.
Nodier est surtout le maître d’œuvre avec le baron Taylor, des Voyages pittoresques et romantiques dans l’ancienne France : œuvre gravée monumentale en vingt-quatre volumes décrivant les différentes provinces françaises ; récit ambitieux, à la fois anthologie historique, descriptive et pittoresque, mettant à contribution le meilleur de la peinture de paysage contemporaine, de Bonington à Isabey. »

Hôtel particulier du peintre Ary Scheffer, il fut dès sa construction le lieu de rendez-vous de tous les artistes du mouvement romantique de Paris : Géricault, Liszt, Ingres, Delacroix, Chopin, Lamartine…
Il est aujourd'hui consacré à la vie romantique même s'il a également pour but de rendre hommage à George Sand, voisine et amie de Ary Scheffer.
Horaires du musée : Tous les jours (sauf lundi et fériés) 10h-18h
Tarifs du musée : Gratuit hors expos
Expo : Plein tarif : 7 € tarif réduit : 5 €

10- Musée Cernuschi (7 avenue Vélasquez 75008 Paris )



Le Japon au fil des saisons

du 19 septembre 2014 au 11 janvier 2015

« A une époque où les problèmes environnementaux sont au centre des préoccupations, cette exposition se propose de montrer les liens affectifs et profonds qui unissent les Japonais à la Nature. C’est au travers de 60 peintures sur papier et sur soie qu'est suggérée l’essence de leur culture: Figurant des végétaux, des animaux et des paysages dont les thèmes sont liés à une saison ou à un mois de l’année, ces œuvres témoignent toutes de cette sensibilité et réceptivité particulières des Japonais face à la Nature.
Les représentations naturelles (fleurs, oiseax, paysages) ne sont pas dans la culture japonaise de simples motifs décoratifs, mais sont toujours associées à une symbolique établie par les poètes depuis le VIIIe siècle. Cette codification littéraire fut, par la suite, reprise par les peintres et artistes japonais. A l'époque d'Edo, les artistes enrichissent cette iconographie en y adjoignant des thèmes d'origine chinoise.
  Le parcours de l’exposition montre comment les grands courants picturaux des  XVIIIe et  XIXe siècles, ont, tout en perpétuant une tradition séculaire, renouvelé l’approche stylistique de ces thèmes.
Sont exposées  les œuvres des artistes des mouvements sinisants  du Nanga, réalistes de Maruyama-Shijō et  décoratifs de Rimpa, sur des supports différents : rouleaux verticaux, horizontaux et paravents. Les plus grands noms de la peinture japonaise figurent dans cette exceptionnelle exposition : Ike no Taiga ((1723-1776), Tani Bunchō (1763-1840), Maruyama Ōkyo (1733-1795), Sakai Hōitsu (1761-1828). De ce dernier artiste est présentée la très rare série des 12 peintures des Fleurs et oiseaux des 12 mois, série dont on connaît un équivalent dans la collection impériale japonaise.
Les œuvres appartiennent toutes à la collection américaine de  Mrs Betsy et Mr. Robert  Feinberg. Certaines ont fait l’objet d’expositions au Japon et au Metropolitan Museum de New York. D’autres sont totalement inédites.

Musée ouvert du mardi au dimanche, de 10h à 18h sans interruption.
Fermé les jours fériés
Plein tarif : de 4 à 11 €
Tarif réduit 1 : de 3 à 8 €
Tarif réduit 2 : de 2 à 5,50€
Gratuit pour les moins de 18 ans.

11- Musée du Louvre ( 162 rue de Rivoli, 75001 Paris )

++ Mark Lewis
Invention au Louvre
Art contemporain

du 9 Octobre 2014 au 5 Janvier 2015



« Depuis ses débuts dans les années 1990, l’oeuvre de Mark Lewis semble traverser à rebours l’histoire des images. Peinture, photographie et cinéma entretiennent dans ses films une conversation silencieuse.
Se référant aux frères Lumière, l’artiste canadien place l’exploration optique au centre de l’expérience artistique. Un nouvel espace temporel s’invente, où se croisent les chemins du regard et ceux de la mémoire, les temps mêlés de l’image en mouvement et les durées internes de la perception.
Sous le titre d’Invention au Louvre, Mark Lewis a conçu trois nouveaux films à partir des collections du musée. En observant Le Bienheureux Ranieri délivre les pauvres d’une prison de Florence, de Giovanni Sassetta, L’Enfant au toton, de Chardin, ou encore la galerie de la Vénus de Milo, l’artiste réactive une tradition ancienne de la littérature artistique : celle du mouvement imaginé.
Diderot, dans sa critique du Salon de 1763, invitait le spectateur à évoluer de plain-pied dans la peinture par le  truchement d’une lunette ; Goethe, face au groupe sculpté du Laocoon au Vatican, préconisait de cligner des yeux pour en « animer » optiquement les  figures ; dans son poème Le Peintre, Girodet s’identifiait au mythe de Pygmalion, aspirant à insuffler la vie aux images. Le film, suggère Mark Lewis, s’est inventé avant la technique du  cinéma, dans l’oeil du spectateur. »

++ Le Maroc médiéval
Un empire de l’Afrique à l’Espagne



du 17 Octobre 2014 au 19 Janvier 2015



« Du XIe au XVe siècle, une succession de dynasties – almoravide, almohade et mérinide – ont unifié un espace politique et civilisationnel centré sur le Maroc, et étendu jusqu’à l’Andalousie. Leurs conquêtes les ont menées du sud du désert du Sahara (frange nord de la Mauritanie) au nord de l’Algérie et de la Tunisie. L’influence de ces empires, unissant pour la première fois les confins de l’Occident islamique, a rayonné jusqu’en Orient. L’exposition (près de 300 oeuvres) permet d’appréhender cette longue et riche histoire, clef de compréhension du Maroc contemporain et source de sa modernité.
L’exposition incite à relire cette période d’apogée de l’Occident islamique, tant du point de vue historique qu’artistique. Elle présente ses plus belles réalisations dans les domaines du décor architectural, du textile, de l’ivoire ou de la calligraphie et replace cette puissante entité au centre des réseaux diplomatiques et commerciaux qui  furent les siens. « Le Maroc médiéval » invite à un voyage dans l’espace marocain et andalou, suivant un fil chronologique. Chacune des périodes historiques est ponctuée d’éclairages sur les lieux de pouvoir et capitales historiques, cités d’or et de lumière. »

++ Exposition Objets dans la peinture, souvenir du Maroc



du 5 Novembre 2014 au 2 Février 2015



L’exposition, en lien avec « Le Maroc médiéval. Un empire de l’Afrique à l’Espagne », présente, en regard de peintures et de dessins d’Eugène Delacroix, les objets rapportés par l’artiste de son voyage en Afrique du Nord en 1832.
Légués par Delacroix au peintre Charles Cournault, ces objets ont ensuite été donnés au musée Delacroix en 1952 par ses héritiers. L’exposition permet ainsi, en mettant en valeur cette part insigne de la collection permanente du musée, d’étudier l'aspect réaliste et fantasmagorique de l’oeuvre orientaliste de Delacroix. En effet, si le voyage au Maroc fut, pour ce jeune homme ébloui, l’occasion de concevoir des centaines de croquis et d’aquarelles « sur le vif », il revint tout au long de sa carrière,  jusqu’à sa mort en 1863, à ces sujets orientaux. Au souvenir du Maroc, se mêlait une vision imaginaire et sensible nourrie par la littérature et la musique de son temps.
Grâce à des prêts prestigieux des musées français, grâce à l’engagement des héritiers de Charles Cournault, cette exposition offre de retrouver, au sein de l’atelier du grand artiste, les objets qu’il y avait rassemblés et d’interroger son rapport à ces objets, souvenirs du Maroc, mais aussi signes de son attachement à un imaginaire oriental. Elle pose ainsi un regard neuf sur l’œuvre orientaliste de Delacroix, dans le lieu même de sa création.

++ Exposition 30 ans d’acquisitions en Nord-Pas de Calais
Carte blanche aux musées de la région



du 28 Mai 2014 au 1 Juin 2015



Cette exposition présente un panorama des acquisitions par les musées de la région Nord-Pas de Calais au cours des trente dernières années.
C’est une occasion privilégiée de faire comprendre aux visiteurs le sens et la logique d’un achat. L’événement s’inscrit ainsi dans la vocation du  Louvre-Lens de faire découvrir les coulisses et le fonctionnement interne des musées. Conçue avec des oeuvres acquises grâce à la participation du Fonds régional d’acquisition pour les musées, alimentée à parité par l’État et la Région,
l’exposition met également en valeur les efforts des différents acteurs de  l’enrichissement des musées : les collectivités territoriales dont dépendent les collections, la Direction régionale des affaires culturelles et le Conseil régional Nord-Pas de Calais.

++ Exposition Art contemporain
Claude Lévêque - Sous le plus grand chapiteau du monde
Art contemporain

du 2 Avril 2014 au 4 Janvier 2016

  Avec des gestes plastiques d’une énergie dense et ramassée, l’oeuvre de Claude Lévêque travaille avec les lieux qu’elle rencontre pour y activer une forte charge d’images et de sensations. L’invitation du Louvre commence avec une mise en incandescence de la pyramide de Ieoh Ming Pei.
Le néon, l’un des matériaux privilégiés de l’artiste, se fait ici foudre, tranchant un volume d’air pour distribuer ses résonances nocturnes sur l’architecture alentour. Après Tony Cragg, Wim Delvoye et Loris Gréaud, cette création in situ de Claude Lévêque vient inscrire sa propre lecture de l’entrée du musée. Il s’agit du premier chapitre d’une intervention plus développée de l’artiste, qui s’étendra, en 2015, aux fossés et au donjon du Louvre médiéval.
« La lumière et le son sont des moyens de métamorphose complète, affirme Claude Lévêque. Ce sont deux éléments primordiaux dans une sensation. Après viennent les textures, les images, les ambiances, les objets, etc. »

Le musée est ouvert tous les jours de 9h à 18h excepté le mardi.
Le musée est ouvert en nocturne jusqu'à 21h45 les mercredi et vendredi.
Tarifs :
Billets collections permanentes 12 euros
Billes exposition Hall Napoléon : 13 euros
Billet jumelé ; 16 euros
Gratuit pour les moins de 25 ans

12- Musée Rodin (79 Rue de Varennes 75007 Paris )

Rodin, le laboratoire de la création

Du 13 Novembre 2014 au 27 septembre 2015

« L’exposition Rodin, le laboratoire de la création, nous introduit dans le secret de l’atelier du sculpteur, véritable laboratoire de la création et creuset d’une Œuvre. Un ensemble unique de cent cinquante plâtres et terres cuites souvent inédits, est sorti des réserves à cette occasion. Il permet de suivre le parcours exceptionnel du sculpteur. Le visiteur plonge au cœur du processus de création, invité, par l’exercice de son regard, à percevoir les chemins, les hésitations, mais aussi les fulgurances de la pensée formelle de Rodin.
Porte de l’enfer, monuments aux Bourgeois de Calais ou à Victor Hugo, Balzac, Muse Whistler… Les œuvres les plus célèbres et les plus abouties émergent peu à peu de l’esprit et des mains de Rodin, aboutissements d’un travail prodigieux et de très nombreux travaux préparatoires : études et esquisses de terre malaxées vigoureusement, maquettes, épreuves de plâtre moulées en série, puis retravaillées jusqu’à obtenir la version finale…
  L’œuvre se construit sous nos yeux, les visages s’animent, les nus prennent position, avant d’être drapés, tandis que les abattis – ces membres séparés du corps (têtes, mains, bras, pied) – sont étudiés comme des morceaux de choix, des gestes isolés, avant d’être réintégrés à l’œuvre définitive. C’est une véritable profusion créatrice qui s’empare de l’artiste à chaque projet, une efflorescence de l’imaginaire qui explore, sonde, expérimente…
Les séries constituées par les œuvres définitives, ainsi que par les études et les modèles préalables qui ont présidé à leur conception, seront complétés par des photographies prises dans les ateliers de Rodin, ou retouchées par lui pour affiner son idée, chercher un profil, élaborer ses compositions. C’est donc en quelque sorte le cheminement qui précède le « chef d’œuvre » qui sera donné à voir. »

Du 13 novembre 2014 au 27 septembre 2015
Ouvert tous les jours sauf le lundi
Mardi, jeudi, vendredi, samedi et dimanche de 10h à 17h45
Nocturne le mercredi jusqu'à 20h45

Tarif plein 6 € Tarif réduit 5 € Tarif jeune
18 à 25 ans hors de l'UE 5 € Tarif jeune
18 à 25 ans de l'UE Gratuit




13- Musée Marmottan-Monet (2 Rue Louis Boilly 75016 Paris )

Impression, soleil levant
L'histoire vraie du chef-d’œuvre de Claude Monet

du 18 septembre 2014 au 18 janvier 2015

« Impression, soleil levant, la toile qui a donné son nom à l'impressionnisme et qui est le fleuron des collections du musée Marmottan Monet, est l'une des  peintures les plus célèbres au monde. Cette œuvre n'a pourtant pas fait l'objet d'une étude approfondie jusqu'à ce jour. Au contraire, depuis près de quarante ans, le mystère semble grandir autour du chef - d'œuvre : que représente véritablement le tableau ?  Un soleil levant ou un soleil couchant ? Quand fut-il peint ? En 1872  ou en 1873 ? Qu’est-il advenu du tableau à l’issue de la première exposition impressionniste ? Pourquoi a-t-il rejoint, en 1940, les collections du musée Marmottan, un établissement initialement dédié à l'Empire et qui n’abritait alors aucune peinture impressionniste ? Pourquoi à cette date ?  Dans quelles circonstances ?  Le musée Marmottan Monet répond à ces questions à partir du 18 septembre 2014. »

Musée ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h
Nocturne le jeudi jusqu'à 21h
Plein tarif 11 euros
Tarif réduit 6,50 euros
Gratuit en dessous de 7 ans

14- Musée de l'Orangerie ( Jardin Tuileries 75001 Paris )

Émile Bernard (1868-1941)

du 17 septembre 2014 au 5 Janvier 2015

« Peintre, graveur, mais aussi critique d'art, écrivain et poète, Emile Bernard est une personnalité majeure dans l'élaboration de l'art moderne. A la fin des années 1880, il inaugure le style cloisonniste, dont on sait l'importance qu'il revêtira chez Gauguin et Van Gogh, dont Bernard fut proche, mais aussi chez les Nabis.
Après la controverse sur l'invention du symbolisme en peinture, qui l'oppose violemment à Gauguin, Bernard s'installe au Caire où il reconsidère la stylisation schématique et la recherche de primitivisme symboliste. La découverte des maîtres anciens l'incitera cependant à renouer avec la tradition.
De retour en France, il publie des témoignages fondamentaux sur Cézanne et des écrits esthétiques remettant en cause les avant-gardes au nom de la tradition picturale. Mais, loin de se définir par un traditionalisme suranné, son art porte toujours la marque d'une personnalité curieuse et tourmentée, à la recherche de l'absolu artistique.
Cette exposition sera la première à présenter la longue carrière de cet artiste protéiforme, dont les mutations successives participent à chaque fois d'une redéfinition de la personnalité et remettent en cause la notion même de style. »

Le musée est ouvert de 9h à 18h, tous les jours sauf le mardi
Entrée plein tarif : 9€
Entrée tarif réduit : 6,5€

15- Musée du Luxembourg (19 Rue de Vaugirard 75006 Paris )

Paul Durand-Ruel
  Le pari de l'impressionnisme
Manet, Monet, Renoir

Du 9 octobre 2014 au 8 février 2015

« Le Musée du Luxembourg présente la première exposition consacrée à Paul Durand-Ruel (1831 – 1922), le plus grand marchand d’art du XIXe siècle, découvreur des Impressionnistes et inventeur du marché de l’art moderne. Autour de Manet, Renoir ou Monet, le parcours réunit quatre-vingts chefs-d’œuvre de l’impressionnisme et retrace le moment où une avant-garde artistique accède à la reconnaissance internationale sous l’impulsion d’un marchand passionné.»

Le Musée est ouvert :
Les mardis, mercredis, jeudis, de 10h à 19h
Les lundis et vendredis de 10h à 22h
Les samedis et dimanches de 9h à 20h
Tarifs :Plein Tarif : 12,00 euros
Tarif Réduit : 7,50 euros
Spécial Jeune : 7,50 euros du lundi au vendredi à partir de 17h, deux entrées pour le prix d’une au tarif 16 à 25 ans
Gratuité pour les moins de 16 ans

16- Pinacothèques de Paris

(1- 28 Place de la Madeleine 75008 Paris)
(2- 8 rue Vignon 75009 Paris)

++ le Kâma-Sûtra, spiritualité et érotisme dans l'art indien

du 2 Octobre 2014 au 11 Janvier 2015

« Pour la saison automne-hiver 2014-2015, la Pinacothèque de Paris présente une exposition hors du commun : Le Kâma-Sûtra : spiritualité et érotisme dans l’art indien
Attribué à un brahmane qui l’aurait écrit au IVe siècle de notre ère, le Kâma-Sûtra constitue l’un des textes majeurs de l’hindouisme médiéval et n’est pas un livre pornographique ainsi qu’il est souvent présenté en Occident. Il est divisé en sept sections (adhikarana) : la société et les concepts sociaux, l’union sexuelle, à propos de l’épouse, à propos des relations extra-maritales, à propos des courtisanes, à propos des arts de la séduction.
Près de 350 œuvres exceptionnelles dont celles de la collection de Shriji Arvind Singh Mewar, maharana 
d’Udaipur et la remarquable collection de Beroze et Michel
 Sabatier - sculptures, peintures, miniatures, objets de la vie
 quotidienne, « livres de l’oreiller », ouvrages illustrés que l’on 
offrait aux jeunes mariés jusqu’au XIXe siècle afin de faire 
leur éducation érotique -, organisées selon les sept sections du Kâma-Sûtra, sont présentées par la Pinacothèque de Paris.
L'exposition, déconseillée aux mineurs, explique l’esthétique érotique propre à la vie culturelle indienne et à l’hindouisme. Elle tente également de comprendre pourquoi le monde occidental porte un regard si déformé sur ce livre singulier. »

++ L'art de l'amour au temps des geishas

du 6 Novembre 2014 au 15 février 2015

« Dans le cadre de sa saison Art et Érotisme en Orient, et en complément de l’exposition Kâma-Sûtra, la Pinacothèque de Paris souhaite offrir au public une approche singulière de la vie et de la culture érotique au Japon à l’époque d’Edo (1603-1867).
L’exposition L’Art de l’amour au temps des Geishas : les chefs-d’œuvre interdits de l’art japonais est la première jamais présentée en France sur ces fameuses estampes qui relèvent de tous nos fantasmes et de l’imaginaire extrême-oriental. »

Musée ouvert tous les jours de 10h30 à 18h30 sauf le mardi
Nocturnes les mercredis et les vendredis jusqu’à 20h30
Tarifs :
billet simple 13 euros (14,50 euros billet coupe file)
billet à tarif réduit 11 euros (12,50 euros billet coupe file)

17-Musée Guimet (6 Place d'Iéna 75116 Paris )%%

Splendeurs des Han, essor de l'empire Céleste

Du 22 octobre 2014 au 1er mars 2015

« Après le règne de « l’auguste Empereur » Qin Shi Huangdi (221-207 av. J.-C.), les souverains de la dynastie Han (-206 av. J.-C. / 220 ap. J.-C.) trouvent les bases d’un empire unifié.
Pendant près de quatre siècles, ils l’affermiront et élargiront un territoire allant des confins de la steppe au nord de la péninsule indochinoise en s’appuyant sur une administration hiérarchisée, une économie agricole et une diplomatie favorisant les alliances lointaines et les échanges, notamment par la route de la soie.
Depuis près de quarante ans, les découvertes de premier ordre, révélant la richesse de l’art et de la culture de l’époque des Han n’ont cessé de se multiplier, renouvelant sans cesse l’archéologie chinoise. Ces œuvres, appartenant principalement à la sphère funéraire évoquent l’art de vivre aristocratique aussi bien que les activités quotidiennes ; elles sont d’un humanisme saisissant et témoignent aussi des conceptions de l’au-delà prévalant durant ces quatre siècles. Il s’ouvre sur un espace mythologique foisonnant, séjour des immortels.
Grâce au prêt exceptionnel d’œuvres majeures provenant des musées de nombreuses provinces chinoises et à la présentation de découvertes archéologiques inédites, le musée national des arts asiatiques ― Guimet présentera au public un brillant panorama de la création sous les Han, depuis la peinture jusqu’aux bronzes, aux céramiques et aux objets de laque, parcourant l’ensemble de la création artistique, de la délicatesse de l’objet jusqu’aux sculptures monumentales.
Ce temps d’innovation artistique et technique constitue un moment essentiel de l’histoire de la Chine dont le rôle fondateur peut être comparé à celui de l’empire romain dans la culture occidentale.
Cette exposition n’est possible que grâce à la générosité insigne de nombreux musées chinois qui se défont, le temps de cette exposition, de nombre de leurs chefs-d’œuvre, assurant à la manifestation un niveau de qualité remarquable, à la hauteur de l’événement commémoré. »

Le musée est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 18h.
Tarifs :
collections permanentes
7,50 euros PT
5,50 euros TR%% Billet jumelé collections permanentes et temporaire
9 ,50 euros PT
7,00 euros TR

18- Musée d'Art Moderne de la Ville de Paris (11 Avenue du Président Wilson  75116 Paris )

++ Sonia Delaunay, les couleurs de l'abstraction

du 17 octobre 2014 au 22 février 2015

« Première grande rétrospective parisienne consacrée à Sonia Delaunay depuis 1967, l’exposition organisée par le Musée d’Art moderne de la Ville de Paris rassemble, aux côtés de trois reconstitutions exceptionnelles d’environnements, plus de 400 œuvres : peintures, décorations murales, gouaches, estampes, mode et textiles. Cette monographie qui suit l’évolution de l’artiste de l’aube du XXème siècle à la fin des années 1970, met en lumière l’importance de son activité dans les arts appliqués, sa place spécifique au sein des avant-gardes européennes, ainsi que son rôle majeur dans l’abstraction dont elle figure parmi les pionniers.
Servie par la reconstitution d’ensembles et de dispositifs inédits, et la présence de photographies et de films d’époque, l’exposition souligne le paradoxe d’une œuvre profondément inscrite dans son temps – de la belle époque aux années 1970 – et la constance des recherches formelles et la quête de synthèse des arts rendent également atemporelle. »

++ David ALTMEJD, Flux



du 10 0ctobre 2014 au 1er février 2015

Le Musée d’Art moderne de la ville de Paris présente à l’ARC Flux, première rétrospective en France de l’œuvre de David Altmejd. Elle réunit des pièces inédites ou plus anciennes, ainsi que sa sculpture monumentale la plus récente et certainement la plus ambitieuse : The Flux and The Puddle (2014).
L’exposition se présente comme une œuvre en soi, aux créatures parfois anthropomorphes et animales : hybrides mi-végétaux mi-minéraux qui se jouent de l’architecture réelle du musée et déploient leur labyrinthe arachnéen. David Altmejd a une approche de la sculpture caractérisée par la grande diversité des matériaux employés où un intérêt très ancien pour les sciences naturelles et pour l’architecture se révèle.
  L’artiste travaille à même le flux psychique. Dans son univers de « rêveur définitif », l’action et la conscience fusionnent ; l’artiste domine le grotesque et l’abject, marie l’esthétique au « glamour », ses sculptures explorent les mondes du rêve et du cauchemar entre fascination et effroi.
L’exposition révèle un ensemble d’éléments, d’ « acquis artistiques » volontairement contradictoires : conceptuels ou processuels, entre virtuosité et ready made… Le flux lumineux, issu d’innombrables sources, naturelles et artificielles, se subdivise au gré des miroirs qu’il rencontre, fracassés ou intacts, suivant la fantaisie du sculpteur.
Proche des univers cinématographiques de David Cronenberg, de David Lynch ou de Jim Henson et marqué comme toute sa génération par l’œuvre de Matthew Barney, David Altmejd allie des composants mystiques et alchimiques à une esthétique éclatée, entre structure et dispersion. Théâtre de formes et d’organes en gestation, de cristaux en formation, son œuvre agit par strates, assemblant patiemment des sédiments mémoriels soudain réunis en une explosion jubilatoire et onirique.

Né en 1974 à Montréal, vit et travaille à New York. David Altmejd intègre la section “arts visuels” de l'Université du Québec à Montréal pour étudier le dessin et la peinture, il en ressort sculpteur en 1998. Passionné de sciences biologiques et de cinéma fantastique, il s’expatrie à New York. En 2001, il est diplômé des Beaux-Arts de l’université de Columbia. David Altmejd a représenté le Canada en 2007 à la 52ème Biennale de Venise avec l’installation « The Index » et a participé aux Biennales du Whitney Museum en 2004 et d’Istanbul en 2003.

Ouvert du mardi au dimanche de 10h à 18h
Nocturne le jeudi jusqu’à 22h
Plein tarif : 7 €
Tarif réduit : 5 €
  Gratuit : -18 ans
Billet combiné (Delaunay + Altmejd) : 13€ et 9,50€ (tarif réduit)




19- La Conciergerie (2 Boulevard du Palais 75001 Paris )

Saint Louis, 800ème anniversaire

du 8 Octobre 2014 au 11 Janvier 2015

« Louis IX, futur saint Louis, eut une influence considérable dans tout l’Occident médiéval. Sa double qualité de roi et de saint a fait du personnage une figure mythique. L’exposition retrace le parcours d’un monarque au destin singulier dont le rayonnement politique s’étend bien au-delà des frontières du puissant royaume de France...
130 œuvres d’art d’une qualité artistique exceptionnelle vous accueillent au sein de la salle des gardes de la Conciergerie et témoignent de l’effervescence intellectuelle et de la grâce qui touchent les arts parisiens au XIIIe siècle. »



La Conciergerie est ouverte tous les jours de 9h30 à 18h
Nocturnes tous les mercredis jusqu’à 20h
Plein tarif 8,50 euros
Tarif réduit 5,50 euros
Gratuité moins de 25 ans

20- Musée des Arts Décoratifs (107 Rue de Rivoli 75001 Paris )

++ De la Chine aux arts décoratifs : l'art chinois dans les collections du musée des arts décoratifs

du 13 février 2014 au 11 janvier 2015

L’exposition « De la Chine aux Arts Décoratifs » dévoile, pour la première fois, la qualité et la diversité exceptionnelles de la collection d’objets d’art chinois conservée aux Arts Décoratifs. Fruit d’acquisitions faites dans les premières décennies de l’institution, mais aussi de dons et de legs de collectionneurs généreux, cet ensemble remarquable traduit l’engouement pour l’art chinois en France, principalement dans la seconde moitié du XIXe siècle et le premier tiers du XXe siècle. L’intérêt que ces donateurs ont eu pour les œuvres en provenance de Chine, et de manière plus large pour le Moyen-Orient et l’Extrême-Orient, réside souvent dans la fascination pour certaines techniques et matériaux, mais aussi pour leurs formes et leurs motifs. Les pièces exposées sont une invitation à découvrir des savoir-faire artisanaux et à pénétrer un univers qui a attiré et intrigué, en renouvelant le vocabulaire ornemental français depuis les premières expositions universelles jusqu’aux périodes plus récentes. L’attrait de l’époque pour ces œuvres est tel, que des publications de grande envergure comme celles d’Adalbert de Beaumont, Owen Jones et Eugène Victor Collinot, contribuent à la diffusion de ces registres décoratifs avec un impact significatif sur les métiers d’art européens.

++ Recto Verso : 8 pièces graphiques

du 21 mai 2014 au 1er février 2015

« Les Arts Décoratifs invitent 8 graphistes français contemporains : Akatre, Jocelyn Cottencin, Helmo, Christophe Jacquet, Fanette Mellier, Mathias Schweizer, Pierre Vanni et Vier5. L’exposition Recto-Verso. 8 pièces graphiques, interroge la problématique du rapport des travaux réalisés dans le cadre d’une commande et ceux réalisés à titre personnel et par là même entre beaux-arts et arts appliqués. Le designer graphique est-il un technicien de la communication ou davantage un artiste ? Par nature multiple, disséminé dans l’espace public, un objet graphique lié à une commande, (affiche, document...) va à l’encontre des critères définissant une œuvre d’art. Pourtant, depuis le début des années 2000, le design graphique n’est plus uniquement une pratique où se développent des enjeux économiques et culturels mais est envisagé, par certain de ses acteurs, comme un lieu d’hybridation critique entre la communication visuelle et l’art contemporain. Chacun des huit graphistes investit de manière originale les salles du musée des Arts décoratifs et met en scène ses projets qu’ils soient issus de la commande ou non : affiches, performances, vidéos, photographies, installations, bandes dessinées, ainsi que des collaborations artistiques dans divers champs de la création : danse, littérature, mode, musique… La présentation de ces deux « catégories » de travaux montre que leur porosité participe à terme à construire un seul et même univers artistique et plastique. »

++ Les jouets en bois suédois

du 19 juin 2014 au 11 janvier 2015

« Le bois fait des objets essentiels, des objets de toujours », Roland Barthes, Mythologies, 1957.
En 1987, le département des jouets du musée des Arts décoratifs présentait l’exposition Le jouet en bois de tous les pays, de tous les temps. En 2010, Vilac était invité à célébrer ses 100 ans. Deux expositions qui racontaient l’histoire du bois à travers différentes cultures et traditions. Initiée par le Bard Graduate Center de New York, l’exposition Les jouets en bois suédois explore la culture ludique suédoise à travers plus de 250 jouets et documents provenant de la collection italienne de la Sovrintendenza Capitolina ai Beni culturali di Roma Capitale, du musée Brio à Osby, en Suède, ainsi que de la collection du musée des Arts décoratifs à Paris.

Tarifs de 11 à 15 euros
Ouverture du Musée des arts décoratifs du mardi au dimanche de 11h à 18h
le jeudi : nocturne jusqu’à 21h




21- Musée d'Art et d'Histoire du Judaïsme (71 Rue du Temple 75003 Paris )

Abel Pann
Œuvres de guerre (1915-1917)
60 estampes de la collection du Mahj

du 29 avril au 30 novembre 2014

« Célébré dans le monde juif pour ses peintures sur les thèmes bibliques, Abel Pann (Kreslawka, 1883 – Jérusalem, 1963) est l’auteur d’une œuvre peu connue, aussi multiple par ses supports (peintures, dessins, estampes) que par ses sujets (héros et scènes bibliques, judaïsme d’Europe orientale, scènes de Palestine, société française) ou que par ses tonalités (romantique, lyrique, caricaturale).
Né Abba Pfeffermann en Lettonie, Abel Pann est issu d’un milieu juif orthodoxe. Après avoir quitté sa famille, il travaille dans une imprimerie et apprend le métier de graveur. Puis il étudie à l’Académie des beaux-arts d’Odessa et se spécialise dans la peinture, le dessin d’humour et la caricature, dont le portrait-charge.
Il arrive à Paris en 1905 et fréquente les artistes de la Ruche. Ses dessins sont publiés dans diverses revues. De 1912 à 1913, il séjourne à Jérusalem et enseigne à l’École des beaux-arts de Bezalel.
Sioniste convaincu, il rentre à Paris pour organiser son départ définitif ; mais ses projets sont empêchés par la déclaration de guerre. De 1914 à 1917, Abel Pann réalise des affiches populaires, destinées à éveiller le sentiment patriotique et à renforcer le moral des Français.
Il s’inquiète aussi de la situation de ses coreligionnaires sur le front oriental. Dès juillet 1914, les juifs subissent des exactions de la part de l’armée tsariste et de la population polonaise. Abel Pann dénonce ces persécutions par une impressionnante suite de dessins exécutés entre décembre 1915 et la fin de 1916. Mais l’ambassadeur russe à Paris intervient pour en empêcher la publication. En 1917, certain que les juifs de la diaspora seront toujours perdants, Abel Pann part pour les États-Unis. Il s’établit en Palestine à partir de 1920, enseigne à l’école de Bezalel et entame la création d’une œuvre sur la Bible. »

Collections permanentes Du lundi au vendredi : 11 h à 18 h et Dimanche : 10 h à 18 h
Collections temporaires : Lundi, mardi, jeudi, vendredi : 11 h à 18 h,
Mercredi : 11 h à 21 h
Dimanche : 10 h à 19 h
Expositions permanentes de 6 à 8 euros
Expositions temporaires de 4,50 à 7 euros
Expositions jumelées de 4,50 à 10 euros
Gratuit pour les moins de 18 ans

22- Hôtel de Ville de Paris ( Place de l'Hôtel de ville 75004 Paris )

23- Musée Eugène Delacroix (6 Rue de Furstenberg 75006 Paris )

"Objets dans la peinture, souvenir du Maroc"

Du 5 novembre 2014 au 2 février 2015

De 9h30 à 17h30

« Le voyage d’Eugène Delacroix au Maroc apparaît comme un des événements majeurs de la vie du grand peintre. Seul grand voyage dans l’existence d’un peintre casanier, préférant les vertiges de l’imagination à l’ivresse de la découverte, le périple marocain de Delacroix ne cesse de fasciner. L’exposition au musée Delacroix se fonde sur une partie, souvent méconnue, de la collection du musée, constituée par la petite centaine d’objets marocains – tissus, faïences, armes, cuirs, vêtements, instruments de musique, coffres – rapportés par Delacroix de son voyage. Ces objets acquis au Maroc accompagnèrent le peintre dans ses différents ateliers, au cours des trente années qui suivirent, de 1832 à 1863. Ils étaient ainsi dans l’atelier et l’appartement de la rue de Fürstenberg, à la mort du peintre.
Souvenirs du Maroc, ces objets formèrent pour le peintre comme autant d’impressions tangibles de son grand voyage, en écho à ses notes et ses croquis. Leur présence, discrète mais effective, au sein de ses différents ateliers, lui a offert la possibilité, les années passant le séparant de son voyage marocain, d’en élaborer une remémoration poétique où vérité matérielle et imagination se mêlèrent. Les prêts exceptionnels consentis pour cette exposition offre ainsi de mettre en valeur le rapport singulier à l’objet qu’eut Delacroix. »

Horaires Le musée est ouvert tous les jours, sauf les mardis, de 9h30 à 17h00
Tarifs
Billet d’entrée au musée Delacroix : 6 €
Billet d’entrée à l’exposition temporaire : 7,50 €
Billet jumelé Louvre - Delacroix valable toute la journée pour la visite de l’exposition du musée Delacroix et des collections du musée du Louvre : 12 €



24- Institut du Monde Arabe ( 1 Rue des Fossés Saint-Bernard  75005 Paris)

Le Maroc contemporain

Du 15 0ctobre 2014 au 25 Janvier 2015

Sur 2 500 mètres carrés, le visiteur est invité à un voyage magique et plein de surprises à travers l'incroyable effervescence de la scène artistique marocaine contemporaine. Toutes les disciplines sont réunies : arts plastiques, design, vidéo, architecture, mode... Cette exposition est l’une des plus importantes jamais consacrées en France à la scène artistique contemporaine d'un autre pays.

Tarifs
billet exposition seule de 8,50 à 10,50 euros
billet musée + exposition de 11 à 13 euros



Horaires
Mardi : 10h00-18h00
Mercredi : 10h00-18h00
Jeudi : 10h00-18h00
Vendredi : 10h00-21h30
Samedi : 10h00-19h00
Dimanche : 10h00-19h00
Jours fériés : 10h00-19h00




25- Cité de la Musique (221 Avenue Jean Jaurès  75019 Paris )

Exposition à venir Pierre Boulez



du 17 mars au 28 Juin 2015

26- Musée Carnavalet (23, rue de Sévigné - 75003 Paris )

++ Sur les traces des premiers parisiens

du 10 septembre 2013 au 31 décembre 2014

Le musée Carnavalet - Histoire de Paris accueille, dans son espace d’actualité archéologique, l’exposition-dossier «Sur les traces des premiers Parisiens» consacrée aux recherches menées rue Henry-Farman (Paris 15e), en 2008, par une équipe de préhistoriens de l’Institut national de recherches archéologique préventives (INRAP). La fouille a mis au jour des camps de chasseurs-cueilleurs du Mésolithique (8000-6500 avant notre ère), implantés à 250 m de la rive actuelle de la Seine. La présentation porte sur le site archéologique et son contexte environnemental, les outils et les gestes techniques de ces hommes préhistoriques, ainsi que sur les méthodes archéologiques, depuis le terrain jusqu’au laboratoire. Pour la première fois, les plus anciens restes humains découverts à Paris sont présentés au public.

++ Paris libéré, Paris photographié, Paris exposé



du 11 juin 2014 au 1er mars 2015

« A l’occasion du 70ème anniversaire de la Libération de Paris et dans le cadre du Mois de la Photographie, le Musée Carnavalet présente l’exposition « Paris libéré, Paris photographié, Paris exposé ». Le 25 août 1944, Paris est libéré par la 2ème Division Blindée du général Leclerc et les Alliés.
Dans le contexte de ces célébrations, la Ville de Paris propose aussi : un parcours retraçant la mémoire des événements de l’été 1945, au fil de totems implantés dans Paris sur des lieux emblématiques de la Libération, une exposition complémentaire en salle des Prévôts à l’Hôtel de Ville et un cycle de conférences à l’Hôtel de Ville et au Musée du général Leclerc de Hauteclocque et de la Libération de Paris - Musée Jean Moulin.
Deux mois et demi après, alors que la France et les Alliés se battent encore contre les nazis, le musée Carnavalet écrit déjà l’histoire en ouvrant le 11 novembre 1944 une exposition sur la Libération. En effet, dès septembre, François Boucher, conservateur du musée Carnavalet et résistant, souhaite « réunir les documents indispensables à l’historien de l’avenir ». Il lance alors un appel dans la presse afin de « constituer une documentation très complète sur les journées de la libération de Paris. » et sollicite de nombreuses institutions.
Cette exposition, réalisée sur le vif et portée davantage sur l’émotion que sur la véracité historique, rencontre alors un véritable succès populaire.« Paris libéré, Paris photographié, Paris exposé » revient sur l’exposition de 1944 en reprenant des photographies de Robert Doisneau, René Zuber, Jean Séeberger… que viennent enrichir et contextualiser des tirages, des films d’époque, des entretiens vidéos avec des témoins de la Libération, des livres publiés à chaud ou encore divers objets attestant de l’engagement des résistants parisiens pour leur cause…
Cet ensemble inédit de témoignages variés permet de comprendre, la fabrique de l’image en temps de guerre. Dans un jeu où photographies et films se répondent, le parcours montre que les mémoires individuelles et collectives se sont construites grâce aux images qui avec le temps font l’objet d’interprétations variées. Une installation audio-visuelle de l’artiste Stéphane Thidet illustre également ce travail de restitution de la mémoire. »

Collections permanentes
Accès gratuit aux collections permanentes et aux expositions-dossiers présentées dans la galerie de liaison du musée.
Collections temporaires
Entrée payante pour les expositions temporaires
Les droits d'entrée sont spécifiques à chaque exposition (tarif plein, tarif réduit)

Ouvert tous les jours de 10h à 18h, sauf les lundis et jours fériés

27- Cité des Sciences et de l'Industrie

++Zizi sexuel, l'exposition

du 14 0ctobre 2014 au 2 Août 2015

++Art robotique

du 8 avril 2014 au 4 Janvier 2015

++Risque, osez l'expo

du 18 Novembre 2014 au 30 Août 2015

Tarifs
de 7 à 12 euros, selon l'expo
moins de 6 ans, 3 euros

La cité des Sciences est ouverte du samedi de 10h à 18h
le dimanche de 10h à 19h
La Géode est ouverte de 10h30 à 20h30 du mardi au dimanche, ainsi que certains lundi