Allons au musée - Mot-clé - musées en Isère Présentation d'expositions diverses de peintures, sculptures, photos et vidéos, de lieux multiples, musées, centres d'art contemporain, galeries, cafés-restaurants, entre Grenoble, Paris, Lyon, Rhône-Alpes et la Suisse... Ressentis et impressions critiques. 2023-06-28T13:02:04+02:00 Andrée Laporte-Daube urn:md5:627146f22bec1346990949372a159bfa Dotclear Expositions en Isère Printemps-été 2015 urn:md5:1fdc4b2dccbb9c40c9dbc9fe2ed532a2 2015-05-15T18:58:00+02:00 Andrée Laporte-Daube Musées en Isère musées en Isère <h2>1- Musée de Grenoble (5 place de Lavalette, 38000 Grenoble)<br /></h2> <h3>« De Picasso à Warhol - Une décennie d'acquisitions »<br /></h3> <p>« Révéler au public les œuvres majeures acquises ou reçues en don par le musée de Grenoble durant la dernière décennie, tel est l’objectif de cette exposition.<br /> Qu’elles soient d’art ancien, d’art moderne ou d’art contemporain, elles illustrent combien l’enrichissement des collections fait du musée une structure vivante et en constant devenir.<br /> Depuis sa fondation en 1798 et plus particulièrement à partir du début du XXe siècle, le musée de Grenoble s’est signalé par une politique d'acquisition très active. En témoignent les 150 œuvres présentées. Elles dévoilent les lignes de force de la collection, les nouveaux domaines développés ou encore les liens privilégiés tissés avec de nombreux artistes à l’occasion d’expositions temporaires organisées par le musée. Ce sont autant d’histoires d'acquisitions qui sont contées au travers d'un parcours aux multiples facettes mettant en lumière l’ampleur des collections et les correspondances établies entre les œuvres d’hier et d’aujourd’hui.<br /> Ce dynamisme, cette richesse, le musée de Grenoble les doit à un engagement jamais démenti de la part de lma ville mais aussi de l’État, de la Région Rhône-Alpes, des Amis du Musée, du Club des Mécènes et plus largement à la générosité de ses donateurs.»<br /></p> <p>Le musée est ouvert tous les jours sauf le mardi, de 10h00 à 18h30<br /></p> <p>Plein tarif : 8€<br /> Tarif réduit*: 5€<br /> Séniors (plus de 65 ans), familles nombreuses, étudiants (jusqu'à 26 ans), carte Alice, enseignants, groupes de 10 personnes et plus sur réservation, guides conférenciers, invalides civils et de guerre, ancien combattants, Sociétés d' Amis de Musées.<br /> Tarif titulaires de la carte M'RA: 2€<br /> Entrée gratuite*:<br /> Jeunes de moins de 18 ans,<br /> Chômeurs,<br /> Etudiants de moins de 26 ans de l’École du Louvre, en histoire de l'Art et archéologie, en écoles d'art, écoles d'architecture et écoles des arts décoratifs,<br /> enseignants de l’École d'Art et de Design de Valence -Grenoble,<br /> groupes scolaires accompagnés par les enseignants,<br /> Amis du Musée de Grenoble,<br /> Porteurs des cartes ICOM – AICA – Presse,<br /> Enseignants dans le cadre d'un projet pédagogique,<br /> Artistes sur présentation de la carte professionnelle,<br /> Partenaires autorisés par convention avec la ville de Grenoble.<br /> Gratuité pour tous le premier dimanche de chaque mois<br /></p> <h2>2- Le Magasin (Site Bouchayer-Viallet  155 Cours Berriat, 38000 Grenoble)<br /></h2> <h3>TAKE YOU THERE RADIO<br /></h3> <h4>du 30 mai au 23 juin 2015<br /></h4> <p>« Nous avons le plaisir de vous présenter Take You There Radio, un projet de radio éphémère conçu comme une forme d’exposition et diffusé par internet. Take You There Radio a pour objectif de transporter ailleurs les participants comme les auditeurs, de les inviter à ce voyage métaphysique qui traverse les audiences depuis que la radio est un média populaire. Le projet se fait en collaboration avec quatre artistes en résidence ainsi que des participants de longues et courtes distances pour des interventions radiophoniques éditées ou improvisées.<br /> La programmation de Take You There Radio propose une série de voyages dans l'espace et le temps : narrations de science-fiction, états de conscience altérés, retransmissions d'utopies, appropriations de sujets politiques par des amateurs... Comme un leitmotiv, Take You There Radio interroge le son à travers le langage et la musique. Pour diffuser son contenu, Take You There Radio joue avec une grille de programmes prévisible qui permet de mystérieux aboutissements. Les participants vont créer des œuvres conçues pour la radio, à Grenoble, en utilisant les ressources mises à disposition par l’équipe de Take You There Radio : un studio d’enregistrement à l’intérieur de la Conciergerie, un centre de ressources et une salle d’écoute ouverte au public, des conseils de connaisseurs de la radio et de théoriciens de différents domaines. Pendant toute la diffusion de la radio, des improvisations auront lieu sous la forme d’appels téléphoniques, de lettres d’amour, de DJ sets, d’interviews, de tutoriaux et plus, si affinités... Une série d’ateliers sera proposée aux adolescents de Grenoble, menée par l’équipe du projet et des intervenants artistes et techniciens.<br /> Take you there Radio est un projet curatorial de Betty Biedermann, Sophie Lvoff, Martina Margini, Théo Robine-Langlois, Asli Seven, Chloé Sitzia de l’École du Magasin, Grenoble. »<br /></p> <p>Le Magasin est ouvert du mercredi au dimanche, de 14h à 19h<br /> Plein tarif 4€<br /> Tarif réduit 2,50€ (étudiants, chômeurs, handicapés, professeurs d'arts plastiques, cartes senior,...).<br /> Gratuit pour les moins de 10 ans, les membres de l'association des Amis du Magasin, les étudiants en histoire de l'art, en écoles d'art et d'architecture de Rhône-Alpes.<br /></p> <pre></pre> <h2>3- Musée de l’Évêché (2 Rue Très Cloîtres  38000 Grenoble)<br /></h2> <p>Situé au cœur du centre historique de Grenoble, à proximité immédiate de la cathédrale, le Musée de l'Ancien Évêché est installé dans l'ancien palais des évêques, édifice protégé au titre des Monuments historiques.<br /> Le site présente en son sous-sol des vestiges archéologiques de première importance, témoins de l'histoire religieuse de la cité : le baptistère daté des premiers temps chrétiens. Les étages du palais devenu musée abritent l'exposition L’Isère en histoire(s) invitant à un parcours chronologique pour découvrir un territoire, son histoire et ses hommes. Chaque année, le musée présente deux expositions temporaires sur des thèmes intéressant le patrimoine de l'Isère.<br /> Le Musée de l’Évêché est ouvert les lundi, mardi, jeudi, vendredi de 9h à 18h et le Mercredi de 13h à 18h, l'entrée est gratuite, Samedi et dimanche de 11h à 18h<br /></p> <h2>4- Musée Dauphinois (30 Rue Maurice Gignoux 38000 Grenoble)<br /></h2> <h3>++ SAINTE-MARIE D'EN HAUT, QUATRE SIÈCLES D'HISTOIRE<br /></h3> <h4>Parcours permanent<br /></h4> <p>En surplomb de la ville, à l’abri du tumulte et des tracas de la vie urbaine, se dresse le monastère de Sainte-Marie d’en-Haut, quatrième fondation de l’ordre de la Visitation. Né au XVIIe siècle de la rencontre de François de Sales (1567-1622) et de Jeanne de Chantal (1572-1641), cet ordre monastique féminin est l’expression du renouveau du catholicisme après une longue période de guerres de religion.<br /> À l’occasion du quatrième centenaire de l’ordre de la Visitation (1610-2010), le Musée dauphinois remémore l’histoire du monastère qu’il occupe depuis 1968. Les témoignages filmés d’une moniale dans le cloître, d’historiens dans le chœur des religieuses et dans la chapelle, participent à la redécouverte du lieu et à la compréhension de l’engagement dans la vie monastique.<br /> En point d’orgue, une nouvelle lecture lève les mystères du décor de la chapelle conçu en 1666 par le père jésuite Claude-François Ménestrier pour célébrer la canonisation de François de Sales. Rare vestige de l’art baroque à Grenoble, les peintures de la chapelle sont par ailleurs l’unique exemple encore conservé d’un programme écrit par le père Ménestrier.<br /> Une publication éditée en prolongement de ce parcours, actualisée des travaux les plus récents d’universitaires et de spécialistes, décrit quatre siècles d’histoire du site de Sainte-Marie d’en-Haut.<br /></p> <h3>++ « GENS DE L’ALPE »<br /></h3> <h4>Exposition de longue durée<br /></h4> <p>« Il y a plus de trois millénaires, des hommes s'installent sur les hauteurs de la montagne alpine. Ils affrontent l'altitude, la pente, le froid, l'isolement. Rien n'est laissé au hasard dans l'organisation de la communauté où chacun et chaque chose est à sa place., où la rondeur des jours d'hiver succède aux durs labeurs des mois d'été.<br /> L'équilibre et l'harmonie atteints par les gens de l'Alpe ont perduré durant des siècles avant d'être bouleversés par les temps modernes.<br /> L'exposition du Musée Dauphinois dresse le portrait de ces hommes qui, à force de ténacité, de mobilité et d'ingéniosité ont réussi à domestiquer les espaces difficiles de la haute montagne, en présentant les collections les plus prestigieuses du Musée.»<br /></p> <h3>++ LA GRANDE HISTOIRE DU SKI<br /></h3> <h4>Exposition de longue durée<br /></h4> <p>« C'était il y a bien longtemps, dans le Grand Nord, près du lac Baïkal et du Mont Altaï... Les hommes préhistoriques faisaient leurs premières traces à ski. Tout naturellement pour avancer sur la neige, chasser et guerroyer. Pratique, utile et rapide, ce nouveau moyen de locomotion sera vite adopté par les Scandinaves pour braver les terres froides.<br /> Il faudra attendre la fin du XIXe siècle pour que le ski pénètre les Alpes françaises, sous l'impulsion de quelques pionniers isolés et des militaires. Dès lors, l'histoire s'accélère : le ski utile laisse la place au ski sportif. Premiers concours, premières remontées mécaniques et premiers " fanas de la glisse " !<br /> Pour retracer cette fabuleuse épopée, le Musée dauphinois présente La Grande histoire du ski. Quatre mille ans de conquête et d'aventure depuis la préhistoire jusqu'aux tendances les plus actuelles de la glisse. »<br /></p> <h3>++ « À l'arrière comme au front , les Isérois dans la guerre »<br /></h3> <h4>Exposition présentée jusqu'au 30 juin 2015<br /></h4> <p>« Éloignée des zones de combat, l’Isère n’en est pas moins profondément marquée par cette guerre, tant en raison des effets de la mobilisation que par les conséquences militaires, économiques, sociales et politiques sur le territoire même du département. Celles-ci se traduisent notamment par la présence de dizaines d’hôpitaux – la plupart temporaires – pour soigner les blessés qui arrivent depuis le front, ou encore par les prisonniers de guerre allemands dont la maind’œuvre est requise pour de nombreux chantiers.<br /> L’effort de guerre entraîne également une transformation de l’industrie iséroise au service de la défense nationale, avec l’émergence de nouveaux domaines d’activité liés au conflit. C’est le cas notamment du secteur de la chimie. Dans ce contexte et en raison de l’absence d’une part importante de la population masculine, le rôle de la femme dans la société française évolue rapidement et favorisera sans doute son émancipation au sortir du conflit.<br /> En fin de parcours, l’exposition fait place au temps du souvenir qui suit l’armistice du 11 novembre 1918 et au règlement du conflit qui porte en germe le déclenchement de la Seconde Guerre mondiale. Dans le cadre de cette commémoration et au-delà de l’histoire et de la mémoire, le Musée dauphinois souhaite engager une réflexion autour de la notion de paix.<br /> Un programme des nombreux événements organisés dans le département pour le centenaire de 1914 sera édité par le Conseil général de l’Isère.<br /> Le Musée de la Résistance et de la Déportation de l’Isère présentera, en novembre 2014, l’exposition Les poilus de l’Isère. En partenariat avec les Archives départementales de l'Isère.»<br /></p> <h3>++ « Confidences d'outre-tombe, les archéologues interrogent les morts»<br /></h3> <h4>Squelettes en question<br /></h4> <h5>À partir du samedi 20 décembre 2015<br /></h5> <p>Que peuvent nous apprendre les morts de leur vie ? Que recherchent les archéologues en exhumant des défunts des siècles passés ? Quelles représentations avons-nous aujourd'hui du squelette humain ? Pour répondre à ces interrogations, le Musée dauphinois, le Musée archéologique de Grenoble, La Casemate - Centre de Culture Scientifique, Technique et Industrielle de Grenoble et l'Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) croisent leurs regards.<br /></p> <p>Le Musée Dauphinois est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 18h, l'entrée est gratuite.<br /></p> <h2>5- Musée de la résistance et de la Déportation (14 Rue Hébert 38000 Grenoble<br /></h2> <h3>Poilus de l'Isère<br /></h3> <h4>Exposition présentée du 12 novembre 2014 au 18 mai 2015<br /></h4> <p>« Préparée avec le concours de nombreux acteurs locaux, cette exposition est complémentaire de l'exposition À l'arrière comme au front du Musée dauphinois. C'est de l'engagement militaire des Isérois sur les champs de bataille dont il est question ici. Parmi eux, 17 000 à 19 000 hommes ont perdu la vie au cours de la Première Guerre mondiale. Tout en relatant les grandes phases du conflit, le musée reviendra sur les principaux faits d'armes au cours desquels ces soldats ont été engagés : les Vosges, la Somme, l'Artois, la Champagne, Verdun... en s'appuyant sur le parcours documenté de quelques-uns d'entre eux. Le musée souhaite à travers eux donner une vision assez représentative du vécu sur le front. Au lendemain de la guerre, cet engagement humain a été commémoré dans le département par l'érection de monuments aux morts et la tenue de cérémonies du souvenir qui n'empêcheront pas le déclenchement d'une nouvelle guerre mondiale en 1939.<br />  Le Musée accueillera pour l'occasion un emblématique camion CBA appartenant à la Fondation Berliet. Conçu à la veille de la Première Guerre mondiale, il faisait partie des véhicules qui ont acheminé les soldats lors de l'épopée de la « Voie sacrée » de Bar-le-Duc à Verdun, en 1916.  Le camion sera présenté du 12 novembre 2014 au 23 février 2015.<br /> En partenariat avec les Archives départementales de l'Isère et le service départemental de l'Office national des anciens combattants et victimes de guerre de l'Isère »<br /></p> <p>Le Musée est ouvert tous les jours, sauf le mardi matin, lundi, mercredi, jeudi, vendredi de 9h à 18h, mardi de 13h30 à 18h, samedi et dimanche de 10h à 18h. L'entrée est gratuite.<br /></p> <h2>6- Musée de la Révolution Française (place du Château 38 Vizille)<br /></h2> <p>« Créé en 1983 par le Conseil général de l'Isère, dans la perspective du bicentenaire de 1989, le Musée de la Révolution française est installé dans le château du Domaine de Vizille. Il offre un nouveau regard porté sur une période charnière de notre histoire du monde occidental, à partir de la production artistique ou artisanale qu'elle a suscité à l'époque et depuis.<br /> Les collections témoignent de l'état d'esprit des femmes et des hommes contemporains de la Révolution française et des régimes politiques suivants, en tenant compte de la complexité sociale du temps. Le musée présente des œuvres d'art et des objets d'histoire de l'époque révolutionnaire et s'intéresse à tout ce qui s'y réfère ou s'en inspire depuis deux siècles.<br /> Tout en évoquant les événements majeurs dont Paris fut le théâtre, la collection s'ouvre sur l'art et l'histoire dans les régions françaises et dans les pays européens limitrophes.<br /> Les peintures et les sculptures révolutionnaires forment un ensemble exceptionnel d'une grande diversité de styles et de genres. Plusieurs bustes offrent les traits fidèles de personnages célèbres, tels Barnave, Bailly, Mirabeau, et Robespierre<br /> Parmi les objets les plus singuliers, figurent des pierres de la Bastille et les sabres de la garde nationale. Quant aux œuvres du XIXe siècle, elles attestent de la vitalité de la référence à 1789 dans le mouvement qui a conduit à l'établissement de la République française. Expression de leur temps, elles rappellent que l'actualité politique et la recherche historique ont fait évoluer l'approche et l'interprétation de la Révolution.<br /> L'originalité du musée est surtout de rendre compte de l'histoire à partir des œuvres d'art. Ces dernières ne sont pas de simples illustrations des événements et grands acteurs de la Révolution. Grâce à leur puissance évocatrice, à leur contenu et au contexte de leur création, elles nous permettent de mieux pénétrer l'esprit de cette époque.»<br /></p> <p>Le Musée est ouvert tous les jours sauf le mardi<br /> de novembre à mars : de 10h à 12h30 et de 13h30 à 17h (fermé les jours fériés, entre Noël et le Jour de l'An)<br /> d'avril à octobre : de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h<br /> Audioguides gratuits pour les individuels.<br /> Visite guidée des collections du Musée de la Révolution française.<br /> Se présenter à l'accueil du musée environ 15 minutes avant le début de la visite programmée à 15h.<br /> Tarif: 3,80€ par personne, gratuit pour les moins de 12 ans.<br /> Renseignements au 04 76 68 07 35<br /> Le parc : fermé les mardis, accessible janvier et février 10h-17h, mars avril et mai 9h-19h, juin juillet et août 9h-20h, septembre et octobre 9h-19h, novembre et décembre 10h-17h.Visite guidée des collections du Musée de la Révolution française.</p> <h2>7- Maison Bergès, Musée de la Houille Blanche ( 40 avenue des Papeteries Lancey 38190 Villard-Bonnot)<br /></h2> <h3>D'une vallée à une autre : le Grésivaudan en 1968<br /></h3> <h4>Du 21 Novembre 2014 au 30 Août 2015<br /></h4> <p>La Maison Bergès-Musée de la Houille blanche présentera à l'automne prochain une nouvelle exposition consacrée au territoire du Grésivaudan et à son évolution dans les années 1960-1970,à travers la découverte de photographies réalisées par de jeunes passionnés, membres du club photos de la MJC de Crolles.<br /> C'est à Paul Jargot, alors maire de Crolles, que l'on doit la commande de ce travail montrant les mutations de la vallée en 1968. Pas de grands noms, mais des amoureux de l'image qui vont ainsi arpenter la vallée à la manière de reporter et nous livrer leur propre perception de ce territoire alors en pleine transformation avec la construction de l'autoroute, l'essor de l'habitat et des cités HLM, les occupations d'usines au cours de ce mois de mai. Un regard simple, efficace, profondément humain, qui fait aujourd'hui véritablement figure de témoignage sur le passé récent d'une vallée et qui fait écho aux enjeux de développement actuels.<br /></p> <pre></pre> <p>L'entrée est gratuite et le musée est ouvert :<br /> → Du 1er avril au 31 octobre<br /> de 13h à 18h : du mercredi au vendredi<br /> de 10h à 18h : samedi et dimanche<br /> → Du 1er novembre au 31 mars<br /> de 13h30 à 17h30 : du mercredi au vendredi<br /> de 10h à 17h30 : samedi et dimanche<br /> Fermé les 1er janvier, 1er mai et 25 décembre<br />jusqu'à 19 h les dimanches du 1er juin au 30 septembre inclus,</p> <h2>8- Musée Archéologique Grenoble Saint Laurent (Place Saint-Laurent 38000 Grenoble)<br /></h2> <p>« Au cœur de l’un des plus anciens quartiers de la ville, le Musée archéologique Grenoble Saint-Laurent a rouvert ses portes au public en 2011.<br /> Ce musée est implanté sur un lieu patrimonial majeur, le site de Saint Laurent de Grenoble.<br /> Des premiers mausolées du IVe siècle à l'église du XIXe siècle, présente un ensemble architectural témoin d'une adaptation constante à l'évolution des mentalités, des pratiques païennes aux croyances chrétiennes.<br /> Si sa renommée est acquise, grâce en particulier à son sanctuaire des premiers temps chrétiens pourvu d'une crypte exceptionnelle du Vième siècle, l'exposition permanente enrichie des collections issues des fouilles révèle l'essentiel du contenu des recherches menées sur le site.<br /> Une nouvelle scénographie originale et spectaculaire, faisant la part belle aux technologies numériques renforce le pouvoir d'évocation des vestiges : une véritable renaissance pour ce site qui témoigne de près de vingt siècles d'histoire urbaine, religieuse et humaine de Grenoble.»<br /></p> <pre></pre> <p>L'entrée est gratuite.<br /> Le Musée est ouvert tous les jours de 10h à 18h, sauf le Mardi.<br /></p> <h2>9- Musée Hébert (chemin Hébert 38700 La Tronche)<br /></h2> <h3>Joël Negri Sculptures, Collages 1978-2015<br /></h3> <h4>Du 6 mars au 1er juin 2015<br /></h4> <p>De quelques œuvres anciennes, symboliques et énigmatiques, à des œuvres plus récentes, aériennes et légères, aux résonances poétiques, jusqu'à la série actuelle des Douze apôtres, photographies retravaillées et bustes, comme issus de l'antique, le grenoblois Joël Negri n'a cessé d'explorer les formes et d'approfondir son travail. N'hésitant pas à prendre des chemins de traverse pour aboutir à une nouvelle réalisation, il expérimente les techniques et les matériaux les plus divers et les plus inattendus. A travers un parcours plastique très personnel, l'exposition s'ouvre sur un réel onirique.<br /></p> <p>De l'autre côté<br /></p> <p>Le Musée est ouvert tous les jours de 10h à 18h,jusqu'à 19 h les dimanches du 1er juin au 30 septembre inclus, sauf le mardi, l'entrée est gratuite.<br /></p> <pre></pre> <h2>10- Musée Hector Berlioz (69 rue de la République 38261 La Côte St André Cedex<br /></h2> <h3>La musique, du Phonographe à internet<br /></h3> <h4>Exposition prolongée jusqu'au 30 septembre 2015<br /></h4> <p>« Depuis la nuit des temps, l’Homme rêve d’emprisonner les sons… Au cours du XIXe siècle, apparaissent les premiers dispositifs pour conserver la musique. La diffusion de ces appareils, sans cesse modernisés, va engendrer une mutation profonde des modes d’écoute de la musique. Le Musée Hector-Berlioz ne pouvait occulter l’aventure de la musique enregistrée.<br /></p> <p>L’exposition vous fera découvrir : Phonographes et machines parlantes, 78 tours et TSF, pick-up et tourne-disques jusqu’à la musique numérique. Durant le parcours, l’exposition vous invitera à des expériences sonores inédites : plusieurs dispositifs interactifs permettent de s’enregistrer, d’écouter des cylindres ou des 78 tours ou encore de s’immerger dans une sphère de musique spatialisée. Pour des connaissances et des émotions nouvelles… »<br /></p> <p>L'entrée du Musée est gratuite.<br /> Le Musée est ouvert tous les jours, sauf le mardi, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h, les week-end jusqu'à 19h du 1er Mai au 31 Août.<br /></p> <h2>11- Musée Géo Charles (1 rue Géo-Charles 38 Echirolles)<br /></h2> <h3>Julien Beneyton – THE B.A.G<br /></h3> <h4>dans le cadre du projet Chambre d'écoute, au sein der la collection permanente<br /></h4> <h5>du 1er Avril au 27 septembre 2015<br /></h5> <p>« Le Musée Géo-Charles poursuit son projet « Chambre d'écoute » en invitant Julien Beneyton à investir le 1er étage du musée. Julien Beneyton, né en 1977 à Échirolles, est un peintre figuratif, hyper-réaliste qui puise son inspiration dans son entourage, les personnes qu'il croise et les scènes de la vie quotidienne. Il est représenté par la Galerie Olivier Robert, Paris.<br /> Ce tableau « The BAG » représente un groupe d’amis d’enfance, rassemblé à Echirolles, Isère (38), en 2012. La plupart d’entre eux y sont nés, y ont vécu ou y ont étudié. Le parking du cinéma Pathé-Echirolles où ils se trouvent est hautement symbolique. En août 2012, une vingtaine d’années après, ils se sont retrouvés à cet endroit précis dans le but de réaliser ce portrait de groupe... Chaque détail apporté à la peinture a été décidé ensemble. Ces choix personnels ont un sens et documentent des souvenirs communs. Si certains détails sont anachroniques en 2012, ils ont une valeur symbolique et sentimentale. The B.A.G célèbre l’appartenance à un groupe avec sa « micro-culture », l’éloge de la « loose » adolescente, une certaine nostalgie et l’amitié durable.<br /> Julien Beneyton<br /></p> <p>« Figuratif, l’art de Beneyton est fondamentalement requis par l’humain et la socialité. Paradoxalement, si les scènes ou les portraits qu’il fixe sur la toile ou brosse sur le papier, si les sculptures qu’il confectionne s’apparentent à un arrêt sur image et offrent à voir des compositions comme saisies sur le vif, elles sont le fruit d’une lente et laborieuse élaboration. C’est dans cet écart que l’artiste prend ses distances avec le réel pour mieux l’incarner. »<br /> Philippe Piguet, « A la régulière » , 2011, Maison des Arts de Malakoff.<br /></p> <p>Ce projet est en résonance avec les expositions « La Vie qui va avec » de Julien Beneyton à la Chapelle de la Visitation à Thonon-les-Bains dont le commissariat a été confié au critique d'art et commissaire indépendant Philippe Piguet et « U can't touch this » à La FrabriC – Fondation pour l'art contemporain<br /> Claudine et Jean-Marc Salomon, Annecy.<br /></p> <p>Le Musée est gratuit et est ouvert du lundi au vendredi de 14h à 18h, samedi et dimanche de 14h à 19h.<br /></p> <h2>12- Musée St Antoine l'Abbaye<br /></h2> <h3>++ Chroniques du Moyen-Âge … guérir l'âme et le corps<br /></h3> <h4>du 9 Mars au 31 Août 2015<br /></h4> <p>Une modeste maison de l'Aumône est à l'origine de la fondation caritative entretenue par des hospitaliers, hommes et femmes, au service des pauvres, puis des malades frappés du terrible mal des Ardents.<br /> Bien implantés au milieu du XIIe siècle, les premiers hospitaliers laïcs demeurent soumis à l'autorité des Bénédictins dépêchés de Montmajour un siècle plus tôt.<br /></p> <p>En conflit permanent avec les hospitaliers, les religieux se voient congédiés par le pape Boniface VIII en 1297, qui érige la maison de l'Aumône en Abbaye : les frères hospitaliers deviennent chanoines réguliers de l'Ordre de Saint-Antoine.<br /> Dès lors se forge peu à peu l'histoire riche et mouvementée du fief des premiers seigneurs de l'Albenc, berceau d'un ordre hospitalier puissant, qui, durant près de sept siècles, rayonnera sur toute l'Europe.<br /> Le Noviciat<br /></p> <h3>++ Jardins des Cloîtres, Jardins des Princes<br /> Quand le parfum portait remède<br /></h3> <h4>du 9 mars au 11 Novembre 2015<br /></h4> <p>« Dès le Moyen Age, les jardins des cloîtres et les jardins des princes accueillent les plantes nécessaires à l'élaboration des remèdes et des compositions odorantes qui constitueront jusqu'au XIXe siècle l'essentiel de la pharmacopée.<br /> Les jardins des cloîtres renvoient à la solitude, au recueillement, à la contemplation, au silence alors que les jardins des princes sont orientés vers le plaisir véhiculé par une société souvent fastueuse.<br /> Pourtant, malgré cette opposition évidente, un point les réunit : tous font une place importante aux plantes médicinales et aux parfums.<br /> En l'Abbaye de Saint-Antoine, maison-mère des Hospitaliers, les jardins sont une ressource essentielle pour l'élaboration de remèdes mais également un lieu privilégié pour l'élévation de l'âme. La rose parfume dès le Moyen Âge les jardins des cloîtres et les jardins des princes. Elle entre dans de nombreuses compositions parfumées, porteuse de bienfaits thérapeutiques, source d'agrément qui, au fil des siècles, ne se dément pas.<br /> La création d'un espace dédié à la rose Au nom de la rose entre Orient et Occident offre ainsi l'opportunité de créer une ouverture sur la future pergola de roses et d'entrer en résonance avec l'histoire des jardins au Moyen Âge. » Coproduction Garde-Temps/ musée de Saint-Antoine-l'Abbaye<br /> Salle voûtée des Grandes écuries<br /></p> <p>Ouverture tous les jours de 14h à 18h.<br /> En juin et septembre tous les jours de 14h à 18h et les samedis et dimanches de 10h30 à 12h30 et de 14h à 18h.<br /> En juillet et août, tous les jours de 10h30 à 12h30 et de 14h à 18h.<br /> Fermé le mardi et le 1er mai.<br /> Entée gratuite<br /></p> <h2>13- Église St Hugues de Chartreuse (dans le Massif de la Chartreuse)<br /></h2> <p>L'œuvre de cette église a été entièrement conçue et réalisée par un seul homme, Jean-Marie Pirot, qui prendra le pseudonyme d'Arcabas. Diplômé de l'Ecole des Beaux-Arts de Paris il est enseignant à l'Ecole d'art décoratif de Grenoble au début des années 50.<br /> A cette époque il redécouvre la foi et se met en quête d'une église à décorer, souhaitant ainsi réaliser un travail artistique d'envergure et exprimer sa foi à travers l'art.<br /> Il visite par hasard l'église de Saint-Hugues-de-Chartreuse, rencontre le Père Raymond Truffot, curé de Saint-Pierre et Saint-Hugues, lui propose de restaurer gratuitement l'église en échange d'un projet de décoration. Il obtient l'accord de la commune de Saint-Pierre-de-Chartreuse, présente son projet à l'évêché de Grenoble et se lance dans la réalisation de ce qui sera l'une de ses œuvres majeures.<br /></p> <p>Église ouverte de 10h à 13h et de 14h à 18h, sauf le mardi, entrée libre.<br /></p> <h2>14 VOG Centre d'Art Contemporain (10 avenue Aristide Briand 38600 Fontaine)<br /></h2> <h3>Louise Bossut<br /></h3> <h4>Du 22 mai au 27 juin 2015<br /></h4> <h5>vernissage le jeudi 21 mai à 18h au VOG<br /></h5> <p>« Louise Bossut est une photographe française vivant à Bruxelles.<br /> Puisant son inspiration dans l’histoire de l’art et ses grands maîtres de la renaissance et de l’âge classique, elle crée un lien entre la photographie et l’art du passé.<br /> Ses relations très fortes avec l’histoire de l’art créent le fil rouge de son travail.<br /> A travers ses photographies elle touche à tous les genres de la peinture. »<br /></p> <p>Ouvert du Mercredi au Samedi de 14h à 19h, entrée gratuite<br /></p> <h2>15- Couvent Sainte Cécile -Éditions Glénat, 37 rue Servan à Grenoble<br /></h2> <h3>Exposition TAG, 40 ans en commun<br /></h3> <h4>Du 11 Juin 2015 au 2 Juillet 2015<br /></h4> <p>Du lundi au vendredi, de 9 h à 12 h et de 13h30 à 18h30.<br /> Exposition de photographies illustrant les 40 ans d’existence de la Semitag.<br /></p> <p>Entrée gratuite<br /></p> <h2>16 – Musée Mainssieux 7 Avenue Léon et Joanny Tardy, 38500 Voiron Un artiste en Italie. Voyages de Lucien Mainssieux.<br /></h2> <h3>Le Fantastique bestiaire<br /></h3> <h4>Du 27 janvier au 30 septembre 2015<br /></h4> <p>L'exposition montre une sélection totalement inédite de dessins d'animaux réalisés par Lucien Mainssieux, autant de croquis pris sur le vif ou d'entrainement, qui révèlent l'artiste au travail. Parallèlement, des dessins d'animaux fantastiques, hybrides ou imaginaires mettent en valeur un aspect totalement méconnu de son œuvre, entre surréalisme et occultisme.<br /></p> <p>Le musée est ouvert du mardi au dimanche de 14h à 18h sauf le 1er janvier, le 1er mai, le 11 novembre et 25 décembre.<br /> Entrée libre.</p> <h2>17 – Maison Ravier Morestel 302, rue Ravier – 38510 Morestel<br /></h2> <h3>++ Georges ROUAULT, vision sur la condition humaine<br /></h3> <h4>Du 29 mars au 14 juin 2015<br /></h4> <p>« Georges Rouault a marqué de son empreinte le XXème siècle ; il occupe une place à part parmi les artistes de son époque. Son œuvre est à la fois riche par sa diversité et originale par la force de son langage pictural ; il témoigne de son intérêt pour la condition humaine. Tout au long de sa vie artistique, son œuvre montre des facettes dérangeantes, voire provocantes du monde avec une dimension spirituelle. Il trouve l’inspiration dans les sujets les plus mystiques et les plus humbles et aborde des thèmes liés à une observation critique de la société.<br /> Georges Rouault utilise différents procédés comme la lithographie, la gravure et d’autres expressions plastiques comme la céramique, les émaux, le vitrail, la tapisserie dont il dessine les cartons, les décors et costumes de théâtre. Sa créativité picturale lui permet d’exploiter de multiples techniques comme l’aquarelle, l’huile, la gouache, le pastel, le fusain, l’encre de chine et la craie.<br /> En présentant cette exposition, grâce à l’étroite collaboration de la fondation Georges Rouault, l’Association des Amis de la Maison Ravier veut offrir aux visiteurs l’occasion de mieux connaître l’œuvre de l’artiste entre 1920 et 1940, et mettre en lumière ses thèmes artistiques.<br /> Cette exposition s’articule autour de quatre thèmes : « Souvenirs Intimes », autour des « Réincarnations du père Ubu », du « Cirque » et des « Fleurs du Mal ». Toutes ces œuvres, entourées de mystère, tentent d’exprimer sous une forme picturale ce monde étrange, inquiet et perplexe. Peu importe, sa représentation n’est qu’un prétexte à désacraliser les idées conventionnelles du beau et du laid, du bien et du mal, du bonheur et de la souffrance, de la vie et de la mort. Ce qui est important comme le soulignait Platon « Il faut aller à la vérité avec toute son âme », pari réussi par Georges Rouault.  Son art fait appel à l’émotion de chacun d’entre nous, émotion que nous ressentons et interprétons selon notre propre sensibilité. »<br /></p> <h3>++ François Auguste RAVIER<br /></h3> <pre></pre> <p>« naît à Lyon le 4 mai 1814, fils de Claude Ravier, confiseur et de Françoise Viennois.<br /> En 1834, il quitte Lyon pour achever ses études de droit à paris, et devenir notaire. Il obtient sa capacité en droit un an plus tard. Ces années sur les pas des peintres de l’École de Barbizon sont enrichissantes et accroissent son envie de se consacrer entièrement au dessin et à la peinture. Il visite d’ailleurs le Louvre et dessine de nombreuses vues de Paris. C’est le peintre lyonnais Nicolas Victor Fonville qui intervient auprès de ses parents pour lui permettre de commencer une carrière de peintre paysagiste et ainsi abandonner son notariat.<br /> De 1837 à 1838, il fréquente l’atelier du peintre Théodore Caruelle d’Aligny et celui de Jules Coignet. Après un refus de ses œuvres au Salon de Paris en 1839, il part en Auvergne où il rencontre Camille Corot à Royat. En 1840, Ravier comme de nombreux autres peintres, part en Italie : à Gènes d’abord puis parcourt la campagne romaine à la découverte de ses paysages et de sa lumière. Il y reviendra en 1843-1844, 1846 et 1847.<br /> De retour à Lyon en 1845, il arpente le Dauphiné, le Velay et le Forez et effectue de nombreuses excursions à Crémieu. En juin 1852, il retrouve Corot, Daubigny, Français et Ranvier, et s’installent à l’Auberge de l’Ecu à Crémieu ; ils campent leur chevalet dans la vallée d’Optevoz. Dès 1854, Ravier habite à Crémieu avec sa femme Antoinette Dessaigne qu’il épouse en 1853 et avec qui il a quatre fils et une fille. Vivant paisiblement à Crémieu il reçoit les visites de ses amis peintres Hector Allemand, Chenu, Vernay, Carrand, Ponthus-Cinir, Borel, Berthon, Beauverie, Bellet du Poizat, Rahoult… de 1864 à 1867.<br /> C’est en 1867 qu’il acquiert à Morestel une belle demeure dauphinoise sur les hauteurs de la ville et dans laquelle il restera jusqu’à sa mort en 1895.<br /> Il rencontre en 1873 Félix Thiollier, amateur d’art éclairé et auteur de nombreuses monographies de peintres, qui devient plus qu’un mécène, un ami fidèle et par la suite son exécuteur testamentaire.<br /> En avril 1884, un glaucome hémorragique le contraint à l’ablation d’un œil, sa vue se dégrade progressivement. Il ne travaille plus que sous la pression de ses amis avec lesquels il entretient une abondante correspondance, dictant le plus souvent à sa femme ou à sa fille.<br /> Il décède le 26 juin 1895 complètement aveugle à l’âge de 81 ans et est enterré au cimetière de Morestel. »<br /></p> <p>La « Maison Ravier » est ouverte tous les jours de 14 h 30 à 18 h 30,  fermée le mardi et le 1er mai.<br /> Prix d'entrée 5 euros<br /> Prix réduit 3,50 euros<br /> Gratuité pour les moins de 18 ans<br /></p>